Nadège Namama Fadiga, ancienne capitaine de l’équipe de handball féminin de l’Africa sport d’Abidjan et de Côte d'Ivoire, par ailleurs, vice-présidente du comité national olympique de Côte d’Ivoire, préconise la création de centres de formation des athlètes et la remise en place de la section sports et études au sein des établissements d’enseignement secondaire pour la relance et la promotion de la discipline sportive dans le pays.
Mme Fadiga qui fût formée à la section sport et étude du lycée des jeunes filles de Bouaké où elle a été encadrée par un coopérant, un certain M. Basilo, prône la réouverture des internats, estimant que cela favoriserait la mise en place de ces sections sport et études pour une bonne formation, et aiderait à «atteindre le summum au niveau international».
«Nous avons eu une aventure extraordinaire, il y a eu de bons résultats», a souligné l’ancienne gloire du handball ivoirien, qui a remporté 22 trophées africains avec l’Africa-sport d’Abidjan et six autres trophées continentaux avec l’AS Abinader Bouaké.
«Tout est parti de Bouaké; (...) la formation de base, l’ossature de l’équipe nationale, c’était Bouaké», a-t-elle fait savoir, relevant, à titre d’exemple, qu’à l’époque, 14 joueuses provenaient de l’équipe de Bouaké sur les 16 joueuses que comportait l’équipe nationale féminine.
A l’en croire, on pourrait mettre l’accent sur les filles. «Avec les femmes, on réussi mieux que les hommes, parce qu’au niveau du handball, il y a eu l’expérience à Bingerville avec les hommes, mais ça n’a pas donné», a-t-elle dit.
Par ailleurs, la vice-présidente du comité national olympique de Côte d’Ivoire a recommandé pour la réussite de toute politique, l’unité au sein de la famille du handball ivoirien qui avait été secouée par une crise interne à la fédération.
Mme Fadiga qui fût formée à la section sport et étude du lycée des jeunes filles de Bouaké où elle a été encadrée par un coopérant, un certain M. Basilo, prône la réouverture des internats, estimant que cela favoriserait la mise en place de ces sections sport et études pour une bonne formation, et aiderait à «atteindre le summum au niveau international».
«Nous avons eu une aventure extraordinaire, il y a eu de bons résultats», a souligné l’ancienne gloire du handball ivoirien, qui a remporté 22 trophées africains avec l’Africa-sport d’Abidjan et six autres trophées continentaux avec l’AS Abinader Bouaké.
«Tout est parti de Bouaké; (...) la formation de base, l’ossature de l’équipe nationale, c’était Bouaké», a-t-elle fait savoir, relevant, à titre d’exemple, qu’à l’époque, 14 joueuses provenaient de l’équipe de Bouaké sur les 16 joueuses que comportait l’équipe nationale féminine.
A l’en croire, on pourrait mettre l’accent sur les filles. «Avec les femmes, on réussi mieux que les hommes, parce qu’au niveau du handball, il y a eu l’expérience à Bingerville avec les hommes, mais ça n’a pas donné», a-t-elle dit.
Par ailleurs, la vice-présidente du comité national olympique de Côte d’Ivoire a recommandé pour la réussite de toute politique, l’unité au sein de la famille du handball ivoirien qui avait été secouée par une crise interne à la fédération.