Foot consulting international, structure organisatrice de la Nuit du football africain (NFA) a fait le bilan de ses trois ans d’activités jeudi dernier dans un maquis de la place. Au plan moral, selon Jean- Marc Séka, secrétaire général, la première édition considérée comme un ballon d’essai a été une réussite : « Au cours de la première édition à l’Hôtel Ivoire le 27 juin 2013, nous avons réussi à réunir les sommités du football. Sur les 11 récipiendaires, 3 étaient effectivement là. 4 se sont fait représenter. Mais les récipiendaires présents n’étaient pas des moindres. Il y avait Georges Weah, Rigobert Song et Hervé Renard. Et certains joueurs nous ont fait l’honneur de venir dont Kolo Touré, Gervinho et Zokora », a-t-il dit.
A l’en croire, la deuxième édition, celle de la confirmation a été plus compliquée. « Des peaux de banane et des dénigrements de la part de nos détracteurs n’ont pas manqué. La tenue de cette édition a été compliquée. Mais nous avons pu nous en sortir. Nous avons enregistré la présence d’Antoine Bell, Anthony Baffoe, Patrik Mboma, la Fondation Kalou etc . L’émission Talents d’Afrique enregistrée dans la cour a contribué énormément à la crédibilité de la Nuit du football africain ».
S’agissant de la 3ème édition, Jean- Marc Séka a soutenu que la NFA a également bénéficié de la présence de grandes figures du football. Mais l’innovation a été le match de gala entre les anciens internationaux ivoiriens et leurs homologues africains. Cette rencontre, dit-il, a connu un grand succès. Il a cependant avoué que la Nuit du football africain n’a pas non plus été épargnée par des difficultés.
Au plan du bilan financier, Yves Rodrigue Sawadogo, le président de la structure, a exprimé sa gratitude au président de l’Assemblée nationale, Soro Guillaume, et au ministre d‘Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, qui ont été pour beaucoup dans la tenue des différentes éditions de la Nuit du football africain. « Ils n’ont pas écouté les dénigrements. Je remercie ces deux personnalités qui nous ont assistés malgré les torpilles.
Je dis merci à André Ayew qui, lui aussi, a apporté sa contribution », a-t-il révélé avant de reconnaître que le bilan financier des trois ans n’est pas reluisant. «Sur les trois éditions, nous avons totalisé une dette de près de 45 millions de FCFA. Mais cela n’est rien à côté de la satisfaction que nous tirons de la Nuit du football africain. Nous allons rembourser ces dettes très bientôt », a-t-il promis.
De fait, Yves Rodrigue Sawadogo et ses camarades n’ont jamais réussi à réunir le budget de chaque édition de la Nuit du football africain. En conséquence, ils veulent changer de fusil d’épaule. « Il faut rendre le format simple dans l’avenir. En dehors de la Côte d’Ivoire, d’autres pays veulent voir la NFA se dérouler chez eux. Nous allons étudier ce cas », a-t-il conclu.
E.T.
A l’en croire, la deuxième édition, celle de la confirmation a été plus compliquée. « Des peaux de banane et des dénigrements de la part de nos détracteurs n’ont pas manqué. La tenue de cette édition a été compliquée. Mais nous avons pu nous en sortir. Nous avons enregistré la présence d’Antoine Bell, Anthony Baffoe, Patrik Mboma, la Fondation Kalou etc . L’émission Talents d’Afrique enregistrée dans la cour a contribué énormément à la crédibilité de la Nuit du football africain ».
S’agissant de la 3ème édition, Jean- Marc Séka a soutenu que la NFA a également bénéficié de la présence de grandes figures du football. Mais l’innovation a été le match de gala entre les anciens internationaux ivoiriens et leurs homologues africains. Cette rencontre, dit-il, a connu un grand succès. Il a cependant avoué que la Nuit du football africain n’a pas non plus été épargnée par des difficultés.
Au plan du bilan financier, Yves Rodrigue Sawadogo, le président de la structure, a exprimé sa gratitude au président de l’Assemblée nationale, Soro Guillaume, et au ministre d‘Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, qui ont été pour beaucoup dans la tenue des différentes éditions de la Nuit du football africain. « Ils n’ont pas écouté les dénigrements. Je remercie ces deux personnalités qui nous ont assistés malgré les torpilles.
Je dis merci à André Ayew qui, lui aussi, a apporté sa contribution », a-t-il révélé avant de reconnaître que le bilan financier des trois ans n’est pas reluisant. «Sur les trois éditions, nous avons totalisé une dette de près de 45 millions de FCFA. Mais cela n’est rien à côté de la satisfaction que nous tirons de la Nuit du football africain. Nous allons rembourser ces dettes très bientôt », a-t-il promis.
De fait, Yves Rodrigue Sawadogo et ses camarades n’ont jamais réussi à réunir le budget de chaque édition de la Nuit du football africain. En conséquence, ils veulent changer de fusil d’épaule. « Il faut rendre le format simple dans l’avenir. En dehors de la Côte d’Ivoire, d’autres pays veulent voir la NFA se dérouler chez eux. Nous allons étudier ce cas », a-t-il conclu.
E.T.
