Daloa – Des coupures intempestives d’électricité observées dans la ville de Daloa depuis plusieurs semaines, causent de nombreux désagréments au sein des populations locales, a constaté l’AIP.
Cette situation qui cause des dommages dans les foyers et les entreprises est décriée par la population qui ne sait plus à quel saint se vouer. Certains comme Vanié Bi et César Guéhia expliquent difficilement le mutisme des autorités compétentes, dans la mesure où plusieurs localités du pays connaîtraient selon eux, le même sort.
Outre des foyers où l’on évoque des pannes d’appareils électroménagers avec ces coupures qui prennent l’allure d’un véritable délestage, les opérateurs économiques qui exercent des activités de nuit dont les couturiers, coiffeuses et les boulangers, sont plutôt anxieux à l’approche de la nuit.
"Cela entraîne un réel manque à gagner puisqu’il faut fermer chaque soir", s’insurge Mme Silué B., coiffeuse, relevant l’insécurité que cela peut susciter, avec l’obligation de passer les nuits dans des conditions inconfortables.
Concernant les raisons de ces coupures d’électricité, le directeur régional adjoint de la Compagnie ivoirienne d’électricité(CIE), M. Siahé, avait confié à l’AIP, fin juin 2015, que cette situation ne relevait pas de la compétence de sa direction, mais de la direction générale et concernait le territoire national.
Il avait alors précisé que des travaux entrepris au niveau de la centrale thermique d’Azito, seraient à l’origine des disfonctionnements de la fourniture d’électricité, et que cela ne devrait pas aller au-delà d’une semaine.
Plus de trois semaines après, ces coupures perdurent et continuent de causer des préjudices aux usagers.
yy/tm
Cette situation qui cause des dommages dans les foyers et les entreprises est décriée par la population qui ne sait plus à quel saint se vouer. Certains comme Vanié Bi et César Guéhia expliquent difficilement le mutisme des autorités compétentes, dans la mesure où plusieurs localités du pays connaîtraient selon eux, le même sort.
Outre des foyers où l’on évoque des pannes d’appareils électroménagers avec ces coupures qui prennent l’allure d’un véritable délestage, les opérateurs économiques qui exercent des activités de nuit dont les couturiers, coiffeuses et les boulangers, sont plutôt anxieux à l’approche de la nuit.
"Cela entraîne un réel manque à gagner puisqu’il faut fermer chaque soir", s’insurge Mme Silué B., coiffeuse, relevant l’insécurité que cela peut susciter, avec l’obligation de passer les nuits dans des conditions inconfortables.
Concernant les raisons de ces coupures d’électricité, le directeur régional adjoint de la Compagnie ivoirienne d’électricité(CIE), M. Siahé, avait confié à l’AIP, fin juin 2015, que cette situation ne relevait pas de la compétence de sa direction, mais de la direction générale et concernait le territoire national.
Il avait alors précisé que des travaux entrepris au niveau de la centrale thermique d’Azito, seraient à l’origine des disfonctionnements de la fourniture d’électricité, et que cela ne devrait pas aller au-delà d’une semaine.
Plus de trois semaines après, ces coupures perdurent et continuent de causer des préjudices aux usagers.
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