Abidjan - Le gouvernement réuni en conseil des ministres ce mercredi a adopté un projet de loi relatif au système national de métrologie, qui vient actualiser le dispositif juridique existant, vieux de 53 ans.
Le nouveau texte, selon le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, permet notamment à la Côte d’Ivoire d’adapter son dispositif juridique aux mutations technologiques ainsi qu’aux standards internationaux en matière de métrologie.
"Nous avions une loi qui datait de 1962 sur la métrologie qui aujourd’hui est malheureusement dépassée. Ce projet permettra donc d’assurer de manière plus intégrée la prise en compte de certains aspects de l’évolution de la métrologie qui n’étaient pas suffisamment pris en compte", a-t-il signifié lors de son compte d’après conseil.
"Les aspects scientifique et industriel sont notamment intégrés aujourd’hui", a précisé le ministre Nabagné Koné, relevant l’intérêt de cette nouvelle loi tant au plan légal qu’au plans de la sécurité des populations, notamment au niveau de la santé, et de la protection de l’environnement.
"Au niveau légal l’intérêt de cette loi réside dans le fait qu’elle permet d’assurer plus de garantie, fiabilité et plus de loyauté dans les échanges puisque les mesures sont connues à l’avance, elles sont précises. Elles sont faites, selon des normes qui sont internationalement reconnues", a-t-il expliqué.
Le porte-parole du gouvernement a noté également l’intérêt de ce nouveau texte au niveau de la recherche scientifique et du développement industriel où il y aura désormais une "homogénéité au niveau des mesures qui sont prises", a-t-il estimé.
"L’homogénéité c’est qu’on puisse avoir le même langage sur des normes, sur des indicateurs qui sont précis quand même on parlerait avec soit un japonais, soit un guatémaltèque ou un chinois de cacao", a expliqué le porte-parole du gouvernement avant de se féliciter encore de ce que la nouvelle loi "permet un contrôle qualité beaucoup plus aisé".
(AIP)
kg/ask
Le nouveau texte, selon le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, permet notamment à la Côte d’Ivoire d’adapter son dispositif juridique aux mutations technologiques ainsi qu’aux standards internationaux en matière de métrologie.
"Nous avions une loi qui datait de 1962 sur la métrologie qui aujourd’hui est malheureusement dépassée. Ce projet permettra donc d’assurer de manière plus intégrée la prise en compte de certains aspects de l’évolution de la métrologie qui n’étaient pas suffisamment pris en compte", a-t-il signifié lors de son compte d’après conseil.
"Les aspects scientifique et industriel sont notamment intégrés aujourd’hui", a précisé le ministre Nabagné Koné, relevant l’intérêt de cette nouvelle loi tant au plan légal qu’au plans de la sécurité des populations, notamment au niveau de la santé, et de la protection de l’environnement.
"Au niveau légal l’intérêt de cette loi réside dans le fait qu’elle permet d’assurer plus de garantie, fiabilité et plus de loyauté dans les échanges puisque les mesures sont connues à l’avance, elles sont précises. Elles sont faites, selon des normes qui sont internationalement reconnues", a-t-il expliqué.
Le porte-parole du gouvernement a noté également l’intérêt de ce nouveau texte au niveau de la recherche scientifique et du développement industriel où il y aura désormais une "homogénéité au niveau des mesures qui sont prises", a-t-il estimé.
"L’homogénéité c’est qu’on puisse avoir le même langage sur des normes, sur des indicateurs qui sont précis quand même on parlerait avec soit un japonais, soit un guatémaltèque ou un chinois de cacao", a expliqué le porte-parole du gouvernement avant de se féliciter encore de ce que la nouvelle loi "permet un contrôle qualité beaucoup plus aisé".
(AIP)
kg/ask