Les agents du ministère du Commerce vont entrer en grève de trois jours à partir de lundi prochaine pour réclamer de "meilleures conditions de vie et de travail" à l'appel de leur syndicat.
Selon un préavis de grève signé du secrétaire général du Syndicat national des agents du ministère du Commerce de Côte d'Ivoire (Synamic-ci), Patrice Toto, les agents observeront un "arrêt de travail de trois jours couvrant la période du 27 au 29 juillet inclus".
Le syndicat réclame de "meilleures conditions de vie et de travail" pour ses membres et prévient que le mouvement sera "illimité" si ses revendications ne sont pas satisfaites.
Les revendications tiennent au paiement "immédiat" des indemnités et avantages spécifiques aux agents en charge du commerce, à la signature "urgente" d'un projet de profil de carrière interne au ministère du Commerce.
En octobre dernier, le syndicat avait appelé à une grève pour les mêmes motifs.
Après deux jours d'arrêt de travail, la grève avait été suspendue à la suite de négociations avec la tutelle.
Le Synamic-ci justifie le nouvel arrêt de travail par le non-respect du protocole d'accord signé et le "mépris" affiché par la tutelle.
Selon un préavis de grève signé du secrétaire général du Syndicat national des agents du ministère du Commerce de Côte d'Ivoire (Synamic-ci), Patrice Toto, les agents observeront un "arrêt de travail de trois jours couvrant la période du 27 au 29 juillet inclus".
Le syndicat réclame de "meilleures conditions de vie et de travail" pour ses membres et prévient que le mouvement sera "illimité" si ses revendications ne sont pas satisfaites.
Les revendications tiennent au paiement "immédiat" des indemnités et avantages spécifiques aux agents en charge du commerce, à la signature "urgente" d'un projet de profil de carrière interne au ministère du Commerce.
En octobre dernier, le syndicat avait appelé à une grève pour les mêmes motifs.
Après deux jours d'arrêt de travail, la grève avait été suspendue à la suite de négociations avec la tutelle.
Le Synamic-ci justifie le nouvel arrêt de travail par le non-respect du protocole d'accord signé et le "mépris" affiché par la tutelle.