Vingt ans après la création de l'Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA), la non application des réformes constitue un obstacle majeur à l'atteinte des objectifs qui lui ont été fixés, a déploré jeudi à Cotonou, capitale économique béninoise, le représentant résident de la commission à Cotonou, M. Badjibassa Babaka.
"La première édition de la revue annuelle des réformes, politiques, programmes et projets communautaires de l'UEMOA en 2014 nous a permis de constater que le Bénin était à un niveau de transposition des textes communautaires de 60% et à un taux d'application de 50%", a-t-il déploré, à l'ouverture de la deuxième revue annuelle des réformes, politiques, programmes et projets communautaires de l'UEMOA.
Mais pour la directrice adjointe de cabinet du ministère béninois de l'Economie, des Finances et des Programmes de Dénationalisation, Fatima Madougou, cette première session de la revue annuelle qui avait porté uniquement sur les réformes communautaire a abouti à plusieurs constats dans les domaines de la gouvernance économique et de la convergence ainsi que des politiques sectorielles.
De même, a-t-elle poursuivi, pour faciliter la transition numérique qui est devenue une exigence mondiale, le Bénin a adopté le 13 mai 2014 la loi portant code des communications électroniques et de la poste en République du Bénin.
Par ailleurs, a-t-elle souligné, en matière de mutualité sociale au sein de l'espace UEMOA, le Bénin a mis en œuvre le Régime d'assurance maladie universelle (RAMU).
"Malgré ces avancées importantes, des efforts restent encore à faire pour réduire les tracasseries routières, le contrôle de la charge à l'essieu sur les corridors et la reconnaissances du visa communautaire", a-t-elle regretté.
L'UOMOA a été créée en 1994 par les chefs d'Etat et de gouvernement des sept pays de l'Afrique de l'Ouest ayant en commun l'usage d'une monnaie commune, le F CFA (le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo), et a reçu l'adhésion de la Guinée-Bissau en 1997 comme étant le huitième pays membre.
Cette institution communautaire, a pour objectifs , entre autres, de renforcer la compétitivité des activités économiques et financières des États membres dans le cadre d'un marché ouvert et concurrentiel et d'un environnement juridique rationalisé et harmonisé.
"La première édition de la revue annuelle des réformes, politiques, programmes et projets communautaires de l'UEMOA en 2014 nous a permis de constater que le Bénin était à un niveau de transposition des textes communautaires de 60% et à un taux d'application de 50%", a-t-il déploré, à l'ouverture de la deuxième revue annuelle des réformes, politiques, programmes et projets communautaires de l'UEMOA.
Mais pour la directrice adjointe de cabinet du ministère béninois de l'Economie, des Finances et des Programmes de Dénationalisation, Fatima Madougou, cette première session de la revue annuelle qui avait porté uniquement sur les réformes communautaire a abouti à plusieurs constats dans les domaines de la gouvernance économique et de la convergence ainsi que des politiques sectorielles.
De même, a-t-elle poursuivi, pour faciliter la transition numérique qui est devenue une exigence mondiale, le Bénin a adopté le 13 mai 2014 la loi portant code des communications électroniques et de la poste en République du Bénin.
Par ailleurs, a-t-elle souligné, en matière de mutualité sociale au sein de l'espace UEMOA, le Bénin a mis en œuvre le Régime d'assurance maladie universelle (RAMU).
"Malgré ces avancées importantes, des efforts restent encore à faire pour réduire les tracasseries routières, le contrôle de la charge à l'essieu sur les corridors et la reconnaissances du visa communautaire", a-t-elle regretté.
L'UOMOA a été créée en 1994 par les chefs d'Etat et de gouvernement des sept pays de l'Afrique de l'Ouest ayant en commun l'usage d'une monnaie commune, le F CFA (le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo), et a reçu l'adhésion de la Guinée-Bissau en 1997 comme étant le huitième pays membre.
Cette institution communautaire, a pour objectifs , entre autres, de renforcer la compétitivité des activités économiques et financières des États membres dans le cadre d'un marché ouvert et concurrentiel et d'un environnement juridique rationalisé et harmonisé.