Séguéla - Le gouvernement ivoirien va désormais consacrer 30 milliards par an à la gestion des déchets solides, avec une majoration de la côte part dédiée à ce chapitre dans l’impôt foncier, a annoncé, jeudi à Séguéla, son porte-parole, Bruno Nabagné Koné.
"L’Etat pr évoit lever environ 30 milliards FCFA par an pour couvrir les besoins (en matière de gestion des déchets solides) ; rien que la ville d’Abidjan a besoin de 18 milliards, quand l’intérieur du pays a besoin de 12 milliards", a indiqué M. Nabagné Koné, lors d’une conférence de presse, au terme d’un Conseil des ministres tenu à Séguéla dans le cadre de la visite d’Etat qu’effectue le Président Alassane Ouattara dans le district du Woroba.
Pour l’heure, un relèvement de 10 milliards de FCFA est prévu, a-t-il précisé.
Bruno Nabagné Koné a également annoncé que le chef de l’Etat a donné des "instructions fermes" au gouvernement, afin que les arriérés des prestataires en charge du ramassage et la gestion des déchets solides, estimés à 27 milliards, soient soldés le plus tôt possible, pour permettre à la ville d’Abidjan de renouer avec la propreté.
Ce Conseil des ministres a aussi décidé de la fusion entre l’Agence nationale de la salubrité urbaine (ANASUR) et le Programme de la salubrité urbaine en vue de former u ne seule entité.
La Côte d’Ivoire produit en moyenne plus de 2 milliards de tonnes de déchets solides par an, dont 1,2 millions de tonnes à Abidjan.
akn/tm
"L’Etat pr évoit lever environ 30 milliards FCFA par an pour couvrir les besoins (en matière de gestion des déchets solides) ; rien que la ville d’Abidjan a besoin de 18 milliards, quand l’intérieur du pays a besoin de 12 milliards", a indiqué M. Nabagné Koné, lors d’une conférence de presse, au terme d’un Conseil des ministres tenu à Séguéla dans le cadre de la visite d’Etat qu’effectue le Président Alassane Ouattara dans le district du Woroba.
Pour l’heure, un relèvement de 10 milliards de FCFA est prévu, a-t-il précisé.
Bruno Nabagné Koné a également annoncé que le chef de l’Etat a donné des "instructions fermes" au gouvernement, afin que les arriérés des prestataires en charge du ramassage et la gestion des déchets solides, estimés à 27 milliards, soient soldés le plus tôt possible, pour permettre à la ville d’Abidjan de renouer avec la propreté.
Ce Conseil des ministres a aussi décidé de la fusion entre l’Agence nationale de la salubrité urbaine (ANASUR) et le Programme de la salubrité urbaine en vue de former u ne seule entité.
La Côte d’Ivoire produit en moyenne plus de 2 milliards de tonnes de déchets solides par an, dont 1,2 millions de tonnes à Abidjan.
akn/tm