Kani - Le secrétaire général de la mairie de Kani, Kouadio Kouakou Remy a affirmé vendredi que les autorités et les populations sont mobilisées pour recevoir le président Alassane Ouattara, samedi.
"Depuis que la date de la venue du président est connue, nous avons commencé la mobilisation, en vue de tenir le pari de bien recevoir l’illustre hôte. Au niveau de la mairie nous avons la présidence de la commission logistique. La ville est pavoisée de drapeaux. Le maire a demandé qu’on refasse la peinture d’un certain nombre de services publics. Il ya un vrai brassage entre les autorités et la population(…). Tout le monde est au travail pour la réussite de cet accueil", a fait savoir M. Kouadio.
Selon lui, "notre première attente, notre premier besoin était de voir le président de la République, de le toucher, de lui parler, de communier avec lui et par la grâce de Dieu cela se réalise, nous sommes satisfaits".
Toutefois M. Kouadio Kouakou a relevé quelques besoins de Kani, faisant savoir qu'"au niveau de la commune, les moyens mis à nos dispositions sont maigres pour faire notre travail. Et ils ne viennent pas à temps. Nous souhaitons une rallonge budgétaire. Nous avons besoin de moyens roulants pour lutter contre l’insalubrité et d’un véhicule de liaison pour toucher les réalités de terrain et faire des projets qui prennent en compte les besoins réels des populations".
Le secrétaire général de la commune a plaidé en outre pour le renforcement de l&rsqu o;électrification au niveau de la teckéraie de Kani , la construction d’un stade pour les jeunes, "parce que les jeunes jouent dans la rue", la création de structures pour l’embauche des jeunes, le soutien du gouvernement, en vue de la formation des femmes pour la gestion de microfinances.
Il a enfin exprimé sa gratitude envers le président Ouattara pour les réalisations dans le cadre du programme présidentiel d’urgence (PPU), notamment la voirie avec quatre kilomètres de bitume dans la ville de Kani, le reprofilage de toutes les pistes, l’extension du réseau électrique et l’adduction en eau potable.
Toutefois il a souligné que Kani souffre encore de coupures "intempestives d’eau".
(AIP)
amak/ask
"Depuis que la date de la venue du président est connue, nous avons commencé la mobilisation, en vue de tenir le pari de bien recevoir l’illustre hôte. Au niveau de la mairie nous avons la présidence de la commission logistique. La ville est pavoisée de drapeaux. Le maire a demandé qu’on refasse la peinture d’un certain nombre de services publics. Il ya un vrai brassage entre les autorités et la population(…). Tout le monde est au travail pour la réussite de cet accueil", a fait savoir M. Kouadio.
Selon lui, "notre première attente, notre premier besoin était de voir le président de la République, de le toucher, de lui parler, de communier avec lui et par la grâce de Dieu cela se réalise, nous sommes satisfaits".
Toutefois M. Kouadio Kouakou a relevé quelques besoins de Kani, faisant savoir qu'"au niveau de la commune, les moyens mis à nos dispositions sont maigres pour faire notre travail. Et ils ne viennent pas à temps. Nous souhaitons une rallonge budgétaire. Nous avons besoin de moyens roulants pour lutter contre l’insalubrité et d’un véhicule de liaison pour toucher les réalités de terrain et faire des projets qui prennent en compte les besoins réels des populations".
Le secrétaire général de la commune a plaidé en outre pour le renforcement de l&rsqu o;électrification au niveau de la teckéraie de Kani , la construction d’un stade pour les jeunes, "parce que les jeunes jouent dans la rue", la création de structures pour l’embauche des jeunes, le soutien du gouvernement, en vue de la formation des femmes pour la gestion de microfinances.
Il a enfin exprimé sa gratitude envers le président Ouattara pour les réalisations dans le cadre du programme présidentiel d’urgence (PPU), notamment la voirie avec quatre kilomètres de bitume dans la ville de Kani, le reprofilage de toutes les pistes, l’extension du réseau électrique et l’adduction en eau potable.
Toutefois il a souligné que Kani souffre encore de coupures "intempestives d’eau".
(AIP)
amak/ask