Abidjan – Le laboratoire GlaxoSmithKline (GSK) a annoncé vendredi que le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a émis un avis scientifique favorable pour le candidat vaccin antipaludique MosquirixTM, également connu sous le nom de RTS,S, chez les enfants âgés de six semaines à 17 mois.
Le candidat vaccin RTS,S, développé en partenariat avec la Malaria Vaccine Initiative (MVI) de PATH, est le premier à atteindre cette étape cruciale dans la prévention du paludisme, précise un communiqué de l&rsq uo;institution parvenue samedi à l’AIP.
En 2013, l’on a estimé à 584 000 le nombre de décès dus au paludisme, dont 90 % en Afrique subsaharienne et 83 % chez les enfants de moins de cinq ans.
L’efficacité de RTS,S a été évaluée en complément des mesures existantes de contrôle du paludisme comme les moustiquaires imprégnées d’insecticide utilisées par environ 80 % des enfants et des nourrissons au cours de l’essai.
"Bien que RTS,S seul ne soit pas la réponse absolue au paludisme, son utilisation en complément des interventions actuellement disponibles (moustiquaires et insecticides notamment) apportera une contribution significative dans le contrôle des conséquences du paludisme sur les enfants de ces communautés africaines qui en ont le plus besoin" a déclar&ea cute; un responsable de GSK, Sir Andrew Witty.
GSK a investi plus de 365 millions de dollars US et s’attend à investir 200 à 250 millions supplémentaires jusqu’à ce que le développement soit achevé.
(AIP)
akn/kam
Le candidat vaccin RTS,S, développé en partenariat avec la Malaria Vaccine Initiative (MVI) de PATH, est le premier à atteindre cette étape cruciale dans la prévention du paludisme, précise un communiqué de l&rsq uo;institution parvenue samedi à l’AIP.
En 2013, l’on a estimé à 584 000 le nombre de décès dus au paludisme, dont 90 % en Afrique subsaharienne et 83 % chez les enfants de moins de cinq ans.
L’efficacité de RTS,S a été évaluée en complément des mesures existantes de contrôle du paludisme comme les moustiquaires imprégnées d’insecticide utilisées par environ 80 % des enfants et des nourrissons au cours de l’essai.
"Bien que RTS,S seul ne soit pas la réponse absolue au paludisme, son utilisation en complément des interventions actuellement disponibles (moustiquaires et insecticides notamment) apportera une contribution significative dans le contrôle des conséquences du paludisme sur les enfants de ces communautés africaines qui en ont le plus besoin" a déclar&ea cute; un responsable de GSK, Sir Andrew Witty.
GSK a investi plus de 365 millions de dollars US et s’attend à investir 200 à 250 millions supplémentaires jusqu’à ce que le développement soit achevé.
(AIP)
akn/kam