Abidjan – Le président Alassane Ouattara a annoncé, samedi, lors d’un meeting à Kani, dans la région du Worodougou, l’organisation d’une cérémonie d’hommage à toutes les victimes de la crise postélectorale, le 4 octobre .
"Nous allons le 04 août prochain, c’est-à-dire dans une dizaine de jours, entreprendre une grande cérémonie à Abidjan, pour rendre hommage aux victimes de cette crise", a révélé le chef de l’Etat qui à l’occasion, a rendu également un hommage aux fils du Worodougou qui "ont donné leur vie pour le combat de la démocratie".
Cette cérémonie d’hommage concernera, selon le président Ouattara, les civils recensés par la commission nationale d’enquête mais également les militaires, les gendarmes, les policiers et tous ceux qui ont été assassinés ou tués d’une manière ou d’une autre.
"C’est cela, la réconciliation, nous devons montrer &agrav e; nos populations que nous pensons à ceux qui ont donné leur vie, à ceux qui sont morts pour la patrie", a-t-il souligné.
La crise postélectorale est née du refus de l’ex-président Laurent Gbagba, aujourd’hui à La Haye au Pays-Bas, de céder le pouvoir faisant plus de 3.000 morts, rappelle-t-on.
Le chef de l’Etat à Kani, dans le cadre de la visite d’Etat qu’il effectue dans les régions du Bafing, du Worodougou et du Béré.
(AIP)
kkf/ask
"Nous allons le 04 août prochain, c’est-à-dire dans une dizaine de jours, entreprendre une grande cérémonie à Abidjan, pour rendre hommage aux victimes de cette crise", a révélé le chef de l’Etat qui à l’occasion, a rendu également un hommage aux fils du Worodougou qui "ont donné leur vie pour le combat de la démocratie".
Cette cérémonie d’hommage concernera, selon le président Ouattara, les civils recensés par la commission nationale d’enquête mais également les militaires, les gendarmes, les policiers et tous ceux qui ont été assassinés ou tués d’une manière ou d’une autre.
"C’est cela, la réconciliation, nous devons montrer &agrav e; nos populations que nous pensons à ceux qui ont donné leur vie, à ceux qui sont morts pour la patrie", a-t-il souligné.
La crise postélectorale est née du refus de l’ex-président Laurent Gbagba, aujourd’hui à La Haye au Pays-Bas, de céder le pouvoir faisant plus de 3.000 morts, rappelle-t-on.
Le chef de l’Etat à Kani, dans le cadre de la visite d’Etat qu’il effectue dans les régions du Bafing, du Worodougou et du Béré.
(AIP)
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