Séguéla - La Côte d’Ivoire a exporté 6734,07 carats de diamant, soit une valeur marchande de 297,794 millions de FCFA, depuis la levée de l’embargo qui frappait ce minerai, en avril 2014, a annoncé samedile ministre de l’Industrie et des Mines, Jean-Claude Brou.
"C’est un résultat encourageant, il faut poursuivre dans ce dynamisme", a déclaré M. Brou, lors d’une rencontre d’échanges avec les principaux acteurs de l’exploitation de diamants au camp SOD EMI de Bobi, dans le département de Séguéla.
Pour le ministre des Mines, qui a visité les sites d’exploitation et d’extraction de diamant de Séguéla, la levée de l’embargo est le fruit d’un "gros travail" abattu par le gouvernement pour respecter les exigences du Processus de Kimberley (PK).
"Aujourd’hui, un dispositif est mis en place, nous avons une traçabilité claire qui permet de suivre le diamant depuis le creuseur jusqu’à l’exportation, en passant par les sociétés coopératives et les bureaux d’achat", a-t-il rassuré, invitant les exploitants "au respect scrupuleux des règles du PK, qui exigent que la chaine d’exploitation et la vente du diamant se fasse dans un circuit légal et avec des acteurs autorisés par l’Etat".
Les exploitants de d iamant, qui se sont engagé à respecter les principes du PK, ont plaidé pour la modernisation de leurs activités, ainsi que l’octroi de nouveaux permis afin qu’ils puissent explorer de nouveaux sites. Les anciens sites n’étant plus assez productifs.
tm
"C’est un résultat encourageant, il faut poursuivre dans ce dynamisme", a déclaré M. Brou, lors d’une rencontre d’échanges avec les principaux acteurs de l’exploitation de diamants au camp SOD EMI de Bobi, dans le département de Séguéla.
Pour le ministre des Mines, qui a visité les sites d’exploitation et d’extraction de diamant de Séguéla, la levée de l’embargo est le fruit d’un "gros travail" abattu par le gouvernement pour respecter les exigences du Processus de Kimberley (PK).
"Aujourd’hui, un dispositif est mis en place, nous avons une traçabilité claire qui permet de suivre le diamant depuis le creuseur jusqu’à l’exportation, en passant par les sociétés coopératives et les bureaux d’achat", a-t-il rassuré, invitant les exploitants "au respect scrupuleux des règles du PK, qui exigent que la chaine d’exploitation et la vente du diamant se fasse dans un circuit légal et avec des acteurs autorisés par l’Etat".
Les exploitants de d iamant, qui se sont engagé à respecter les principes du PK, ont plaidé pour la modernisation de leurs activités, ainsi que l’octroi de nouveaux permis afin qu’ils puissent explorer de nouveaux sites. Les anciens sites n’étant plus assez productifs.
tm