Séguéla - La région du Worodougou constitue une "zone d’énormes potentialités minières", propice à l’exploitation industrielle, indique le directeur départemental de l’Industrie et des Mines de Séguéla, Koko Lobognon.
"Au-delà du diamant, trois permis ont été accordés pour la recherche de l’or dans la région ; les recherches sont en de très bonnes voies et montrent que la zone regorge d’énormes potentialités minières", a déclaré M. Lobognon, lors d’une interview accordée samedi à l’AIP.
"Nous nous attendons à ce qu’on nous déclare des gisements qu’on devrait pouvoir exploiter de façon industrielle dans un à deux ans; car les teneurs en diamant, or, nickel, et même en cuivre sont très encourageants", a-t-il signifié.
Pour lui, les acteurs locaux de l’exploitation minière, en particulier du diamant, ont besoin de plus de formation, de moyens et appui techniques, parce que ne connaissant pas réellement l’évolution du marché, et la rareté de cette pierre précieuse nécessitant "des moyens plus lourds, plus modernes pour creuser les parcelles exploitées plus en profondeur".
"Je vous assure, le Worodougou est assis sur une fortune !", a-t-il insisté.
Principale zone de production du diamant en Côte d’Ivoire, le Worodougou a produit plus de 6000 carats en 2015, première année d’exploitation de ce minerai après la levée de l’embargo en avril 2014.
akn/tm
"Au-delà du diamant, trois permis ont été accordés pour la recherche de l’or dans la région ; les recherches sont en de très bonnes voies et montrent que la zone regorge d’énormes potentialités minières", a déclaré M. Lobognon, lors d’une interview accordée samedi à l’AIP.
"Nous nous attendons à ce qu’on nous déclare des gisements qu’on devrait pouvoir exploiter de façon industrielle dans un à deux ans; car les teneurs en diamant, or, nickel, et même en cuivre sont très encourageants", a-t-il signifié.
Pour lui, les acteurs locaux de l’exploitation minière, en particulier du diamant, ont besoin de plus de formation, de moyens et appui techniques, parce que ne connaissant pas réellement l’évolution du marché, et la rareté de cette pierre précieuse nécessitant "des moyens plus lourds, plus modernes pour creuser les parcelles exploitées plus en profondeur".
"Je vous assure, le Worodougou est assis sur une fortune !", a-t-il insisté.
Principale zone de production du diamant en Côte d’Ivoire, le Worodougou a produit plus de 6000 carats en 2015, première année d’exploitation de ce minerai après la levée de l’embargo en avril 2014.
akn/tm