Abidjan (Côte d'Ivoire) - Le député Marius Saar Boué de Guiglo Sous-préfecture, à l'ouest ivoirien, victime d'une agression de malfaiteurs qui ont kidnappé son fils de 15 ans, lutte contre la mort dans une clinique abidjanaise.
Les faits rapportés par des sources policières indiquent que la quiétude de la famille du parlementaire a été troublée, dans la nuit de jeudi à vendredi, par des individus peu recommandables.
De fait, les scélérats qui ont fait irruption '' illégalement'', à la résidence (Cocody cité SIR, à l'Est d'Abidjan) de l'infortuné député n'ont pas fait dans la dentelle pour se ''servir'' après avoir maîtrisé la maisonnée sous la menace de leurs armes à feu.
" Appareils électro-ménagers, téléphones portables, bijoux, argent... '', constituent le butin des malfrats qui, comble de cynisme, administrent un ''traitement de choc'' à l'infortuné parlementaire, sauvagement battu et qui lutte contre la mort dans un établissement hospitalier abidjanais, souffrant d'un traumatisme crânien, soutiennent les mêmes sources.
Dans leur retraite, les agresseurs du député Saar prennent en otage son fils, âgé de 15 ans, avant de mettre le voile avec le rejeton à bord du véhicule de son père, retrouvé, vendredi matin, à Yopougon à l'ouest d'Abidjan par des éléments du 16è arrondissement de police. L'enfant Saar, lui, a été abandonné, plus tôt, par ses ravisseurs dans la même commune.
HS/ls/APA
Les faits rapportés par des sources policières indiquent que la quiétude de la famille du parlementaire a été troublée, dans la nuit de jeudi à vendredi, par des individus peu recommandables.
De fait, les scélérats qui ont fait irruption '' illégalement'', à la résidence (Cocody cité SIR, à l'Est d'Abidjan) de l'infortuné député n'ont pas fait dans la dentelle pour se ''servir'' après avoir maîtrisé la maisonnée sous la menace de leurs armes à feu.
" Appareils électro-ménagers, téléphones portables, bijoux, argent... '', constituent le butin des malfrats qui, comble de cynisme, administrent un ''traitement de choc'' à l'infortuné parlementaire, sauvagement battu et qui lutte contre la mort dans un établissement hospitalier abidjanais, souffrant d'un traumatisme crânien, soutiennent les mêmes sources.
Dans leur retraite, les agresseurs du député Saar prennent en otage son fils, âgé de 15 ans, avant de mettre le voile avec le rejeton à bord du véhicule de son père, retrouvé, vendredi matin, à Yopougon à l'ouest d'Abidjan par des éléments du 16è arrondissement de police. L'enfant Saar, lui, a été abandonné, plus tôt, par ses ravisseurs dans la même commune.
HS/ls/APA