Man – Les populations de la sous-préfecture de Nidrou, département de Kouibly (Ouest), ont exposé lundi leurs problèmes de développement au ministre du Plan et du Développement, Albert Toikeusse Mabri, parrain des 4ème Journées de développement de la mutuelle « Union pour le développement de Nidrou (UDEN), organisées du samedi au lundi dans la localité, autour de la thématique « Contribution de la jeunesse à la lutte contre la pauvreté en milieu rural ».
Par la voix de leur porte-parole, Dr. René-François Monckeh, les populati ons de ce chef-lieu de sous-préfecture ont sollicité le ministre d’Etat, afin que des solutions soient trouvées à leurs problèmes, notamment le manque de routes praticables, d’électricité, d’eau potable, de centres de santé, de centre culturel. Elles ont également plaidé pour que leur marché soit couvert.
Dr. Monckeh s’est réjoui avec ses parents du choix de Nidrou comme l’une des circonscriptions pôles de développement du Projet de reconstruction post-crise et de développement communautaire (PRPC-DC), un projet dédié à l’Ouest du pays qui a particulièrement souffert des différentes crises sociopolitiques en Côte d'Ivoire.
Le ministre Mabri Toikeuse s’est engagé à aider à leur trouver des réponses, révélant que la route Man- Nidrou est programmée pour être bitumée, et qu’il a obtenu du président de la République la reprise urgente du projet d’électrification en souffrance dans la région.
Promettant son appui à l’Union pour le développement de Nidrou ( UDEN) dont il s’est dit membre désormais, Albert Mabri Toikeuse a dit que le Programme national de développement (PNDC), qui sera installé dans les semaines à venir à Nidrou, viendra pour résoudre une majeure partie de leurs préoccupations. "C’est un instrument de développement à la base dont il faut s’approprier", a-t-il conseillé.
Les « Journées de développement » ont été initiées pour servir de forums de réflexion autour du développement de Nidrou. Pour cette 4ème édition, un e conférence a été dite samedi par un technicien de l’ANADER. Ce dernier a sensibilisé les jeunes ruraux et personnes déscolarisées au retour à la terre qui est, selon lui, "notre capital le plus précieux, pour promouvoir des activités génératrices de revenus, et combattre la précarité et la pauvreté qui gagnent du terrain".
(AIP)
gem/tm
Par la voix de leur porte-parole, Dr. René-François Monckeh, les populati ons de ce chef-lieu de sous-préfecture ont sollicité le ministre d’Etat, afin que des solutions soient trouvées à leurs problèmes, notamment le manque de routes praticables, d’électricité, d’eau potable, de centres de santé, de centre culturel. Elles ont également plaidé pour que leur marché soit couvert.
Dr. Monckeh s’est réjoui avec ses parents du choix de Nidrou comme l’une des circonscriptions pôles de développement du Projet de reconstruction post-crise et de développement communautaire (PRPC-DC), un projet dédié à l’Ouest du pays qui a particulièrement souffert des différentes crises sociopolitiques en Côte d'Ivoire.
Le ministre Mabri Toikeuse s’est engagé à aider à leur trouver des réponses, révélant que la route Man- Nidrou est programmée pour être bitumée, et qu’il a obtenu du président de la République la reprise urgente du projet d’électrification en souffrance dans la région.
Promettant son appui à l’Union pour le développement de Nidrou ( UDEN) dont il s’est dit membre désormais, Albert Mabri Toikeuse a dit que le Programme national de développement (PNDC), qui sera installé dans les semaines à venir à Nidrou, viendra pour résoudre une majeure partie de leurs préoccupations. "C’est un instrument de développement à la base dont il faut s’approprier", a-t-il conseillé.
Les « Journées de développement » ont été initiées pour servir de forums de réflexion autour du développement de Nidrou. Pour cette 4ème édition, un e conférence a été dite samedi par un technicien de l’ANADER. Ce dernier a sensibilisé les jeunes ruraux et personnes déscolarisées au retour à la terre qui est, selon lui, "notre capital le plus précieux, pour promouvoir des activités génératrices de revenus, et combattre la précarité et la pauvreté qui gagnent du terrain".
(AIP)
gem/tm