Abidjan - Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Gnamien Konan, a échangé, jeudi, à son cabinet, avec le bureau national de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI), sur les conditions d’une trêve sociale durable dans les universit&eacu te;s et grandes écoles, perturbées ces dernières décennies par des grèves et manifestations violentes d'étudiants.
Le secrétaire général de la FESCI a promis au ministre que son organisation s’inscrira désormais dans la logique d’une paix durable sur les campus.
"Le déficit de communication a occasionné quelques incompréhensions et la FESCI est prête à jouer la carte de l’apaisement", a-t-il soutenu, promettant lui remettre un livre blanc qui présentera l’essentiel des préoccupations des étudiants.
"Nous tenons à remercier le ministre Gnamien Konan pour tous les efforts déployés pour la réforme de notre système d’enseignement supérieur et de recherche et l’assurer de notre disponibilité à l’accompagner po ur la réussite de sa mission. Nous nous engageons à laisser derrière nous les clichés sombres de notre fédération et présenter une nouvelle image plus responsable et plus constructive", s’est-il engagé.
Le ministre Gnamien Konan a expliqué aux étudiants son entendement de la trêve.
"La trêve dont je parle devrait être une prise de conscience du fait qu’une perturbation des cours ne profite à personne et reste toujours préjudiciable aux étudiants", a-t-il indiqué notant que "ce n’est pas une question d’absence de problèmes, mais plutôt une autre manière plus responsable de les aborder".
Il a annoncé la mise en place d’un cadre d’échanges qui permettra de traiter toutes les difficultés qui entravent la bonne marche des universit&e acute;s et de résoudre les déficits de communication.
"Faites-moi confiance. Vous pouvez compter sur ma volonté et ma détermination", s’est-il engagé.
La FESCI est associée aux violences et actes de vandalisme qui secouent l’école ivoirienne depuis sa création en 1990.
(AIP)
aaa/akn/tm
Le secrétaire général de la FESCI a promis au ministre que son organisation s’inscrira désormais dans la logique d’une paix durable sur les campus.
"Le déficit de communication a occasionné quelques incompréhensions et la FESCI est prête à jouer la carte de l’apaisement", a-t-il soutenu, promettant lui remettre un livre blanc qui présentera l’essentiel des préoccupations des étudiants.
"Nous tenons à remercier le ministre Gnamien Konan pour tous les efforts déployés pour la réforme de notre système d’enseignement supérieur et de recherche et l’assurer de notre disponibilité à l’accompagner po ur la réussite de sa mission. Nous nous engageons à laisser derrière nous les clichés sombres de notre fédération et présenter une nouvelle image plus responsable et plus constructive", s’est-il engagé.
Le ministre Gnamien Konan a expliqué aux étudiants son entendement de la trêve.
"La trêve dont je parle devrait être une prise de conscience du fait qu’une perturbation des cours ne profite à personne et reste toujours préjudiciable aux étudiants", a-t-il indiqué notant que "ce n’est pas une question d’absence de problèmes, mais plutôt une autre manière plus responsable de les aborder".
Il a annoncé la mise en place d’un cadre d’échanges qui permettra de traiter toutes les difficultés qui entravent la bonne marche des universit&e acute;s et de résoudre les déficits de communication.
"Faites-moi confiance. Vous pouvez compter sur ma volonté et ma détermination", s’est-il engagé.
La FESCI est associée aux violences et actes de vandalisme qui secouent l’école ivoirienne depuis sa création en 1990.
(AIP)
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