L’Université Félix Houphouët Boigny de Cocody (UFHB), l’Université Alassane Ouattara de Bouaké et l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar organisent conjointement du 17 au 27 août, à l’UFHB, en collaboration avec l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF), le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) et la Conférence des Recteur des Universités Francophones et l’Océan Indien (CRUFAOCI), la 2ème session de préparation au Concours d’Agrégation du CAMES en Sciences Juridiques, Politiques, Economiques et de Gestion.
La cérémonie d’ouverture de cette 2ème session a été présidée le Professeur Crézoit Emmanuel, représentant le Ministre de l’Enseignement Supérieur et la Recherche scientifique (MESRS), en présence des éminents Professeurs, Bakayoko-Ly Ramata, Présidente de l’UFHB, Néné Bi Boti, Président du Comité Scientifique et Bertrand M’Batchi, Secrétaire Général (SG) du CAMES.
En effet, le concours d’agrégation a pour objectif de former des enseignants-chercheurs de très haut niveau, capables de diriger des équipes pédagogiques, de recherche, de former à la recherche et d’assurer des directions de thèses, etc.
Au vu des résultats obtenus au dernier concours d’agrégation, à la suite de la première session de préparation organisée à Dakar, les Recteurs et Présidents d’Universités avec l’appui de l’AUF, ont pris une décision judicieuse en optant pour le choix de la Côte d’Ivoire pour l’organisation de cette présente session 2015.
« L’enjeu des travaux qui se dérouleront du 17 au 27 août est le développement des pays de l’espace CAMES. Or, l’histoire nous enseigne que le socle du développement des grandes nations repose sur l’enseignement supérieur et la recherche » a indiqué le représentant du MESRS, le professeur Crézoit Emmanuel.
Il a par ailleurs souligné que la Côte d’Ivoire, foncièrement attachée à la formation des ressources humaines de qualité, est fière d’accueillir les personnalités du monde scientifique que sont les membres du jury international, en vue d’évaluer les travaux des candidats au concours d’agrégation qui aura lieu à Lomé (Togo), en novembre 2015.
De même, l’occasion a été donnée à la Présidente de l’UFHB, le professeur Bakayoko-Ly Ramata, d’exprimer la gratitude de la communauté scientifique africaine au SG du CAMES, pour toutes les innovations engagées en vue de moderniser le CAMES.
« Je voudrais simplement rappeler qu’outre ses programmes statutaires, notre institution commune dispose aujourd’hui d’un plan stratégique de développement, d’un plan Assurance Qualité, de douze Programmes Thématiques de recherche et de la plateforme e-cames pour la dématérialisation des dossiers de CTS et de l’Agrégation » a confié le professeur Bakayoko-Ly Ramata.
Mais avant, elle n’a pas omis de transmettre les remerciements et la reconnaissance de la Conférence des Présidents des universités publiques de Côte d’Ivoire et la communauté universitaire au ministre de tutelle (MESRS), pour l’appui hautement appréciable qu’il a apporté à l’organisation de cette 2
ème session de préparation au concours d’agrégation 2015. « Cela prouve, si besoin en était que la formation de Ressources Humaines de qualité est au cœur de son action » a affirmé la Présidente de l’UFHB, professeur Bakayoko-Ly Ramata.
Selon le SG du CAMES, professeur Bertrant M’Batchi, cette volonté de formation qualitative cadre avec les ambitions du CAMES, à savoir de favoriser la formation et le perfectionnement des enseignants-chercheurs en poste et de renforcer les capacités du corps professoral des pays membres.
« Pour la présente session donc, nous enregistrons 47 professeurs encadreurs (venus du Bénin, Burkina-Faso, Cameroun, Sénégal, Gabon, Niger, Togo et de la Côte d’Ivoire. Soit huit nationalités. Et, 71 candidats (venus du Bénin, Burkina-Faso, Cameroun, Centrafrique, Côte d’Ivoire, Gabon, Guinée, Madagascar, Mali, Niger, Sénégal et du Togo). Soit douze nationalités sur les dix-neuf que compte le CAMES » a-t-il expliqué.
Il a poursuivi son propos en rendant un vibrant hommage aux acteurs de cette préparation, notamment les professeurs encadreurs, les encadreurs (Maîtres) et les docteurs, et en félicitant les candidats.
En définitive, une leçon inaugurale retraçant l’histoire du Concours d’Agrégation, son objectif, ses reformes et exigences, a été donnée par le professeur Bléou Martin. Notons de son exposé que, le Concours d’Agrégation qui se tient tous les deux ans est destiné aux enseignants africains de rang magistral répondant aux standards internationaux, avec six sessions sanctionnées par trois épreuves.
DA
La cérémonie d’ouverture de cette 2ème session a été présidée le Professeur Crézoit Emmanuel, représentant le Ministre de l’Enseignement Supérieur et la Recherche scientifique (MESRS), en présence des éminents Professeurs, Bakayoko-Ly Ramata, Présidente de l’UFHB, Néné Bi Boti, Président du Comité Scientifique et Bertrand M’Batchi, Secrétaire Général (SG) du CAMES.
En effet, le concours d’agrégation a pour objectif de former des enseignants-chercheurs de très haut niveau, capables de diriger des équipes pédagogiques, de recherche, de former à la recherche et d’assurer des directions de thèses, etc.
Au vu des résultats obtenus au dernier concours d’agrégation, à la suite de la première session de préparation organisée à Dakar, les Recteurs et Présidents d’Universités avec l’appui de l’AUF, ont pris une décision judicieuse en optant pour le choix de la Côte d’Ivoire pour l’organisation de cette présente session 2015.
« L’enjeu des travaux qui se dérouleront du 17 au 27 août est le développement des pays de l’espace CAMES. Or, l’histoire nous enseigne que le socle du développement des grandes nations repose sur l’enseignement supérieur et la recherche » a indiqué le représentant du MESRS, le professeur Crézoit Emmanuel.
Il a par ailleurs souligné que la Côte d’Ivoire, foncièrement attachée à la formation des ressources humaines de qualité, est fière d’accueillir les personnalités du monde scientifique que sont les membres du jury international, en vue d’évaluer les travaux des candidats au concours d’agrégation qui aura lieu à Lomé (Togo), en novembre 2015.
De même, l’occasion a été donnée à la Présidente de l’UFHB, le professeur Bakayoko-Ly Ramata, d’exprimer la gratitude de la communauté scientifique africaine au SG du CAMES, pour toutes les innovations engagées en vue de moderniser le CAMES.
« Je voudrais simplement rappeler qu’outre ses programmes statutaires, notre institution commune dispose aujourd’hui d’un plan stratégique de développement, d’un plan Assurance Qualité, de douze Programmes Thématiques de recherche et de la plateforme e-cames pour la dématérialisation des dossiers de CTS et de l’Agrégation » a confié le professeur Bakayoko-Ly Ramata.
Mais avant, elle n’a pas omis de transmettre les remerciements et la reconnaissance de la Conférence des Présidents des universités publiques de Côte d’Ivoire et la communauté universitaire au ministre de tutelle (MESRS), pour l’appui hautement appréciable qu’il a apporté à l’organisation de cette 2
ème session de préparation au concours d’agrégation 2015. « Cela prouve, si besoin en était que la formation de Ressources Humaines de qualité est au cœur de son action » a affirmé la Présidente de l’UFHB, professeur Bakayoko-Ly Ramata.
Selon le SG du CAMES, professeur Bertrant M’Batchi, cette volonté de formation qualitative cadre avec les ambitions du CAMES, à savoir de favoriser la formation et le perfectionnement des enseignants-chercheurs en poste et de renforcer les capacités du corps professoral des pays membres.
« Pour la présente session donc, nous enregistrons 47 professeurs encadreurs (venus du Bénin, Burkina-Faso, Cameroun, Sénégal, Gabon, Niger, Togo et de la Côte d’Ivoire. Soit huit nationalités. Et, 71 candidats (venus du Bénin, Burkina-Faso, Cameroun, Centrafrique, Côte d’Ivoire, Gabon, Guinée, Madagascar, Mali, Niger, Sénégal et du Togo). Soit douze nationalités sur les dix-neuf que compte le CAMES » a-t-il expliqué.
Il a poursuivi son propos en rendant un vibrant hommage aux acteurs de cette préparation, notamment les professeurs encadreurs, les encadreurs (Maîtres) et les docteurs, et en félicitant les candidats.
En définitive, une leçon inaugurale retraçant l’histoire du Concours d’Agrégation, son objectif, ses reformes et exigences, a été donnée par le professeur Bléou Martin. Notons de son exposé que, le Concours d’Agrégation qui se tient tous les deux ans est destiné aux enseignants africains de rang magistral répondant aux standards internationaux, avec six sessions sanctionnées par trois épreuves.
DA