Bouaké - Le Conseil national de sécurité a procédé, jeudi, à Bouaké, au lancement de l‘étude diagnostique locale de sécurité qui permettra de connaître la situation sécuritaire régionale, en vue de faire la déclinaison locale des 108 réformes arrêtées au niveau national et la cartographie des parties prenantes à la Réforme du secteur de la sécurité (RSS).
Cette initiative vise à améliorer la compréhension des phénomènes d’insécurité et de préciser les perspectives et besoins des citoyens afin d’utiliser ces informati ons pour améliorer les réponses à y apporter dans le cadre des 108 réformes de la RSS, a expliqué la responsable de la communication au secrétariat du Conseil national de sécurité, Mireille Tano Fram.
Cette étape du processus est consécutive à la mise en place d’un comté sectoriel RSS ou le groupe de travail chargé d’élaborer le diagnostic local de sécurité, après une série de rencontres locales qui se sont tenues sur la nouvelle approche de la sécurité.
Le diagnostic permettra la mise en œuvre des réformes propres à la région et la mise en place d’un système de remontée d’informations vers le sommet et aboutira à la création du conseil régional de sécurité.
Les différentes parties prenantes à la RSS, notamment des membres du corps préfectoral, organisations de la société civile, ONG, chefs de communautés, services de l’administration locale, forces de défense et de sécurité ont pris part à la séance de travail.
(AIP)
nbf/tm
Cette initiative vise à améliorer la compréhension des phénomènes d’insécurité et de préciser les perspectives et besoins des citoyens afin d’utiliser ces informati ons pour améliorer les réponses à y apporter dans le cadre des 108 réformes de la RSS, a expliqué la responsable de la communication au secrétariat du Conseil national de sécurité, Mireille Tano Fram.
Cette étape du processus est consécutive à la mise en place d’un comté sectoriel RSS ou le groupe de travail chargé d’élaborer le diagnostic local de sécurité, après une série de rencontres locales qui se sont tenues sur la nouvelle approche de la sécurité.
Le diagnostic permettra la mise en œuvre des réformes propres à la région et la mise en place d’un système de remontée d’informations vers le sommet et aboutira à la création du conseil régional de sécurité.
Les différentes parties prenantes à la RSS, notamment des membres du corps préfectoral, organisations de la société civile, ONG, chefs de communautés, services de l’administration locale, forces de défense et de sécurité ont pris part à la séance de travail.
(AIP)
nbf/tm