Bondoukou - le ministre en charge de la Défense, Paul Koffi Koffi en tournée de sensibilisation a rassuré, mardi à Bondoukou, les populations du Gontougo que l’élection présidentielle du 25 octobre prochain se déroulera dans la tranquillité.
"Il n’y aura rien le 25 octobre. Tout le monde sortira pour aller voter tranquillement et retourner à la maison tranquillement pour attendre les résultats", a déclaré M. Koffi Koffi.
Il a précisé que les candidats ne doivent pas se faire accompagner par des hommes en armes pendant la campagne électorale, soulignant que tout contrevenant à cette mesure sera sanctionné.
"Il n’y a que dans l’armée la garde républicaine qui peut assurer la sécurité des autorités. En dehors de ça, c’est la gendarmerie ", a relevé le ministre de la Défense, soulignant qu’en cas de besoin, en vue de sécuriser leurs campagnes et éventuellement leurs déplacements, les candidats doivent faire la demande auprès des autorités compétentes à savoir les préfets ou les chefs de commandement supérieur de l’armée.
Paul Koffi Koffi a précisé également que les candidats ne doivent pas utiliser les services publics durant la campagne électorale.
"On ne veut plus de conflits en Côte d’Ivoire. Il n’est pas question de toucher à l’ordre public (…) Nous voulons attirer l’attention des candidats, des sympathisants, supporters. S’ils posent des actes l’Etat va réagir", a-t-il prévenu.
(AIP)
ns/akn/tm
"Il n’y aura rien le 25 octobre. Tout le monde sortira pour aller voter tranquillement et retourner à la maison tranquillement pour attendre les résultats", a déclaré M. Koffi Koffi.
Il a précisé que les candidats ne doivent pas se faire accompagner par des hommes en armes pendant la campagne électorale, soulignant que tout contrevenant à cette mesure sera sanctionné.
"Il n’y a que dans l’armée la garde républicaine qui peut assurer la sécurité des autorités. En dehors de ça, c’est la gendarmerie ", a relevé le ministre de la Défense, soulignant qu’en cas de besoin, en vue de sécuriser leurs campagnes et éventuellement leurs déplacements, les candidats doivent faire la demande auprès des autorités compétentes à savoir les préfets ou les chefs de commandement supérieur de l’armée.
Paul Koffi Koffi a précisé également que les candidats ne doivent pas utiliser les services publics durant la campagne électorale.
"On ne veut plus de conflits en Côte d’Ivoire. Il n’est pas question de toucher à l’ordre public (…) Nous voulons attirer l’attention des candidats, des sympathisants, supporters. S’ils posent des actes l’Etat va réagir", a-t-il prévenu.
(AIP)
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