Tiébissou – Quarante-sept personnes dont trois femmes, souffrant d'herniaire et d’hydrocèle (épanchement séreux dans la tunique vaginal), ont été opérées gratuitement à l’hôpital général de Tiébissou.
Cet acte, initié du vendredi à dima nche, par le chef du service de gynécologie et d’obstétrique du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Bouaké, le professeur Djanhan Yao, en collaboration avec le district sanitaire et l’hôpital général de ladite localité, s’inscrit dans le cadre de la reconnaissance aux parents pour tous les services rendus.
« Tous les examens préparatoires, le transport des malades des villages à Tiébissou, leur alimentation, leurs opérations et les soins ont été financés par mes enfants et moi, avec les services de deux chirurgiens, deux infirmiers anesthésistes et trois infirmiers panseurs », a exposé le fils de Taki-Salékro (à une dizaine de km de Tiébissou), par ailleurs Doyen honoraire de l’Unité de formation et de recherche (UFR) des sciences médicales de l’université Alas sane Ouattara de Bouaké.
« Mes enfants et moi, avons décidé de consacrer une partie de nos petits moyens à œuvrer à la bonne santé de nos parents, qui nous ont mis au monde et se sont occupé de nous jusqu’à ce que nous soyons ce que nous sommes aujourd’hui », a poursuivi M.Djanhan Yao, remerciant tous ses collaborateurs.
Il a souligné que « des caravanes pilotes de gynécologie et de cure herniaire sont envisagées » dans les jours à venir, tirant les leçons de la présente édition, afin d’en « faire bénéficier les parents moins nantis ».
Le département de Tiébissou regorge de nombreux gynécologues de renom dont les professeurs Bohoussou Marcellin, Kouakou Privat et Abauleth Raphaël.
(AIP)
myk /ar/fmo/akn/tm
Cet acte, initié du vendredi à dima nche, par le chef du service de gynécologie et d’obstétrique du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Bouaké, le professeur Djanhan Yao, en collaboration avec le district sanitaire et l’hôpital général de ladite localité, s’inscrit dans le cadre de la reconnaissance aux parents pour tous les services rendus.
« Tous les examens préparatoires, le transport des malades des villages à Tiébissou, leur alimentation, leurs opérations et les soins ont été financés par mes enfants et moi, avec les services de deux chirurgiens, deux infirmiers anesthésistes et trois infirmiers panseurs », a exposé le fils de Taki-Salékro (à une dizaine de km de Tiébissou), par ailleurs Doyen honoraire de l’Unité de formation et de recherche (UFR) des sciences médicales de l’université Alas sane Ouattara de Bouaké.
« Mes enfants et moi, avons décidé de consacrer une partie de nos petits moyens à œuvrer à la bonne santé de nos parents, qui nous ont mis au monde et se sont occupé de nous jusqu’à ce que nous soyons ce que nous sommes aujourd’hui », a poursuivi M.Djanhan Yao, remerciant tous ses collaborateurs.
Il a souligné que « des caravanes pilotes de gynécologie et de cure herniaire sont envisagées » dans les jours à venir, tirant les leçons de la présente édition, afin d’en « faire bénéficier les parents moins nantis ».
Le département de Tiébissou regorge de nombreux gynécologues de renom dont les professeurs Bohoussou Marcellin, Kouakou Privat et Abauleth Raphaël.
(AIP)
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