Selon Paul Akoto Yao, qui a été l’enseignant de Jeanne Batlo à l’Ecole normale supérieure, il faut que les Ivoiriens apprennent à être des hommes de valeurs, des modèles pour les générations futurs. Et de relever que ceux qui consacrent leur temps à la formation des élèves doivent respect honneur.
Jeanne Aka batlo, ce nom a rythmé l’enseignement secondaire en Côte d’Ivoire, notamment le Lycée jeunes filles de Bingerville ou Lycée Mamie Houphouët Fêtai, où elle fut première proviseur ivoirienne de cet établissement secondaire public bâti sur une superficie de 16ha et situé à 15 km d’Abidjan.
Pour son apport (Jeanne Batlo) dans l’éducation nationale, à travers a rigueur la discipline et le travail qu’elle a inculqué aux différentes générations de ce Lycée, l’Amicale des anciennes du Collège et Lycée jeune filles de Bingerville, ont décidé de pérenniser le nom de cette dame. Ce à travers l’initiation du "prix Jeanne Batlo" qui, non seulement vise à faire la promotion de l’éducation, mais aussi à récompenser les meilleures bachelières de chaque séries du lycée. Ces anciennes comptent également mettre en place un suivi dans la formation des élèves jusqu’à l’obtention de leur diplôme.
Cette cérémonie a réuni, en plus de la marraine, les ministres Paul Akoto Yao, Emile Constant Bombet, l’ambassadrice Odette Yao Yao et bien d’autres acteurs importants de la scène éducative ivoirienne.
Selon Paul Akoto Yao, qui a été l’enseignant de Jeanne Batlo à l’Ecole normale supérieure, il faut que les Ivoiriens apprennent à être des hommes de valeurs, des modèles pour les générations futurs. Et de relever que ceux qui consacrent leur temps à la formation des élèves doivent respect honneur. Rappelant son parcours d’élèves, de normalien et d’enseignant, sous le premier président Félix Houphouet Boigny, il a insisté sur l’importance de l’apprentissage de la formation des élèves. Ce qui pourrait, pense-t-il, relever l’image de la Côte d’Ivoire en citant en exemple jeanne Batlo. « Elle a fait régner la discipline dans l’éducation des jeunes filles de ce lycée. Aujourd’hui, l’administration ivoirienne et les sociétés privées comptent des femmes dynamiques issues des générations Batlo et qui occupent des postes de responsabilité de premier plan », rappelait la président du comité d’organisation, Mandjo Marguerite.
Le représentant du ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, Hassan Sarr a aussi soutenu qu’il faut que l’œuvre de cette première directrice ivoirienne soit perpétuer et que son reste dans les annales de l’éducation nationale.
Trois générations étaient représentées à cette célébration, à savoir le Collège moderne de jeunes filles de Bingerville (1947-1970), le Lycée jeunes filles de Bingerville (1970-1980) et le Lycée Mamie Fêtai de Bingerville (1988 à ce jour). Cette école qui a 80 ans d’existence aujourd'hui a débuté avec 25 élèves. Pour ce rappel historique, une exposition photo du Lycée, marquant les moments forts, a été visitée par Jeanne Batlo et ses filleuls accompagnés des personnalités.
Kamagaté Issouf
issouf.kamagate@fratmat.info
Jeanne Aka batlo, ce nom a rythmé l’enseignement secondaire en Côte d’Ivoire, notamment le Lycée jeunes filles de Bingerville ou Lycée Mamie Houphouët Fêtai, où elle fut première proviseur ivoirienne de cet établissement secondaire public bâti sur une superficie de 16ha et situé à 15 km d’Abidjan.
Pour son apport (Jeanne Batlo) dans l’éducation nationale, à travers a rigueur la discipline et le travail qu’elle a inculqué aux différentes générations de ce Lycée, l’Amicale des anciennes du Collège et Lycée jeune filles de Bingerville, ont décidé de pérenniser le nom de cette dame. Ce à travers l’initiation du "prix Jeanne Batlo" qui, non seulement vise à faire la promotion de l’éducation, mais aussi à récompenser les meilleures bachelières de chaque séries du lycée. Ces anciennes comptent également mettre en place un suivi dans la formation des élèves jusqu’à l’obtention de leur diplôme.
Cette cérémonie a réuni, en plus de la marraine, les ministres Paul Akoto Yao, Emile Constant Bombet, l’ambassadrice Odette Yao Yao et bien d’autres acteurs importants de la scène éducative ivoirienne.
Selon Paul Akoto Yao, qui a été l’enseignant de Jeanne Batlo à l’Ecole normale supérieure, il faut que les Ivoiriens apprennent à être des hommes de valeurs, des modèles pour les générations futurs. Et de relever que ceux qui consacrent leur temps à la formation des élèves doivent respect honneur. Rappelant son parcours d’élèves, de normalien et d’enseignant, sous le premier président Félix Houphouet Boigny, il a insisté sur l’importance de l’apprentissage de la formation des élèves. Ce qui pourrait, pense-t-il, relever l’image de la Côte d’Ivoire en citant en exemple jeanne Batlo. « Elle a fait régner la discipline dans l’éducation des jeunes filles de ce lycée. Aujourd’hui, l’administration ivoirienne et les sociétés privées comptent des femmes dynamiques issues des générations Batlo et qui occupent des postes de responsabilité de premier plan », rappelait la président du comité d’organisation, Mandjo Marguerite.
Le représentant du ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, Hassan Sarr a aussi soutenu qu’il faut que l’œuvre de cette première directrice ivoirienne soit perpétuer et que son reste dans les annales de l’éducation nationale.
Trois générations étaient représentées à cette célébration, à savoir le Collège moderne de jeunes filles de Bingerville (1947-1970), le Lycée jeunes filles de Bingerville (1970-1980) et le Lycée Mamie Fêtai de Bingerville (1988 à ce jour). Cette école qui a 80 ans d’existence aujourd'hui a débuté avec 25 élèves. Pour ce rappel historique, une exposition photo du Lycée, marquant les moments forts, a été visitée par Jeanne Batlo et ses filleuls accompagnés des personnalités.
Kamagaté Issouf
issouf.kamagate@fratmat.info