Yamoussoukro - Les technologies de protection civile doivent être mises en place au niveau sous-régional pour surveiller les risques potentiels des nouvelles formes de catastrophes telles que Boko Haram, a souhaité mercredi à Yamoussoukro, Bamba Cheick Daniel, le directeur de cabinet du ministre ivoirien de l’Intérieur et de la Sécurité.
M. Bamba s’exprimait ainsi à l’occasion de la deuxième réunion africaine des directeurs gén&eacut e;raux et directeurs de la protection civile qu’il présidait.
Le représentant du ministre Hamed Bakayoko, après avoir suivi une vidéoconférence sur les technologies de gestion et d’anticipation des catastrophes en Russie et en Serbie, s’est dit émerveillé par l’outil que possèdent ces pays pour relever les défis des catastrophes.
"Il faut une bonne coopération pour que tout ce que vous récoltez comme information soit exploitée par nos pays", a-t-il suggéré. Ce, a-t-il poursuivi, pour une gestion efficace des éboulements et pluies diluviennes, mais surtout pour filer les mouvements du groupe Boko Haram afin d’agir efficacement contre la menace terroriste pour permettre aux États africains d’être viables.
Le directeur de cabinet du ministre Hamed Bakayoko a préconisé &e acute;galement la formation à distance pour un renforcement des capacités, pour la formation et l’équipement des systèmes de gestion de catastrophes du continent.
"C’est une nécessité vitale, c’est une urgence pour les pays de se pencher sur les questions de catastrophes. Il est grand temps pour une action concertée pour une gestion des catastrophes" , a conseillé Bamba Cheik Daniel.
La deuxième réunion africaine des directeurs généraux et directeurs de la protection civile enregistre la présence du secrétaire général de l’Organisation international de protection civile, Dr Vladimir Kuvshinov, et a pour thème "Pour un continent africain plus efficace face aux catastrophes et aux crises au 21è siècle".
La rencontre des premiers responsables africains chargés de l a protection civile à Yamoussoukro prend fin vendredi. Elle se veut une plateforme d’échanges pour doter les différents pays d’une protection civile dynamique afin de les rendre moins vulnérables et moins exposés aux catastrophes, de réduire les risques de catastrophes sur le continent et d’en atténuer les effets sur les populations lorsqu’elles surviennent.
nam/cmas
M. Bamba s’exprimait ainsi à l’occasion de la deuxième réunion africaine des directeurs gén&eacut e;raux et directeurs de la protection civile qu’il présidait.
Le représentant du ministre Hamed Bakayoko, après avoir suivi une vidéoconférence sur les technologies de gestion et d’anticipation des catastrophes en Russie et en Serbie, s’est dit émerveillé par l’outil que possèdent ces pays pour relever les défis des catastrophes.
"Il faut une bonne coopération pour que tout ce que vous récoltez comme information soit exploitée par nos pays", a-t-il suggéré. Ce, a-t-il poursuivi, pour une gestion efficace des éboulements et pluies diluviennes, mais surtout pour filer les mouvements du groupe Boko Haram afin d’agir efficacement contre la menace terroriste pour permettre aux États africains d’être viables.
Le directeur de cabinet du ministre Hamed Bakayoko a préconisé &e acute;galement la formation à distance pour un renforcement des capacités, pour la formation et l’équipement des systèmes de gestion de catastrophes du continent.
"C’est une nécessité vitale, c’est une urgence pour les pays de se pencher sur les questions de catastrophes. Il est grand temps pour une action concertée pour une gestion des catastrophes" , a conseillé Bamba Cheik Daniel.
La deuxième réunion africaine des directeurs généraux et directeurs de la protection civile enregistre la présence du secrétaire général de l’Organisation international de protection civile, Dr Vladimir Kuvshinov, et a pour thème "Pour un continent africain plus efficace face aux catastrophes et aux crises au 21è siècle".
La rencontre des premiers responsables africains chargés de l a protection civile à Yamoussoukro prend fin vendredi. Elle se veut une plateforme d’échanges pour doter les différents pays d’une protection civile dynamique afin de les rendre moins vulnérables et moins exposés aux catastrophes, de réduire les risques de catastrophes sur le continent et d’en atténuer les effets sur les populations lorsqu’elles surviennent.
nam/cmas