Abidjan - L’ancien président de la Fédération ivoirienne de football (FIF), Jacques Bernard Anouma, rejoint les quatre présumés candidats à la future élection de cette fédération, sur la forclusion de la commission électorale provisoire qui avait été mise en place juste pour organiser le scrutin de 2011.
"Les statuts disent qu’à partir de 2012, il fallait mettre en place une nouvelle commission électorale. Ce n’est pas un parti pris. Quand on me dit que la commission que j’ai mise en place reste valable jusqu’en 2015, je suis désolé. Ca été une commission électorale provisoire élue en assemblée générale. Son mandat prenait fin après l’AG de 2011", a-t-il déclaré, dans une interview accordée jeudi, à Radio Côte d’Ivo ire.
Selon lui, cette commission électorale a été mise en place entre juillet et septembre 2011 en accord avec la Fédération internationale de football association (FIFA) qui a donné la latitude au comité exécutif sortant dont il était le président, de proposer une liste de membres qui a été élue assemblée générale.
Jacques Anouma dit être contraint par le droit de réserve étant donné que l’affaire a été portée devant les tribunaux mais demande toutefois aux acteurs du mouvement sportif ivoirien de lire les statuts de la fédération qui sont " clairs" car ce ne sont pas les clubs qui étaient habilités à mettre en place cette commission électorale à partir de 2012 mais plutôt la FIF qui devait organiser l&rsquo ;élection de ses membres.
En réaction aux propos de présumés candidats à la présidence du comité exécutif de la FIF, le conseiller spécial du président de la fédération, Eric Tiacoh, avait rejeté la faute sur les présidents des clubs, arguant que ce sont eux qui devaient susciter la mise en place de la nouvelle commission électorale, rappelle-t-on.
Ces quatre candidats que sont Eric Monnet, Dao Mamadou, Koné Cheick Oumar, Eugène Diomandé ont soutenu devant la presse que le mandat de quatre ans de Sidy Diallo, entamé depuis septembre 2011, a pris fin depuis le 30 juin 2015 conformément aux dispositions des articles 34, 42 et 43 de la FIF.
fmo/kam
"Les statuts disent qu’à partir de 2012, il fallait mettre en place une nouvelle commission électorale. Ce n’est pas un parti pris. Quand on me dit que la commission que j’ai mise en place reste valable jusqu’en 2015, je suis désolé. Ca été une commission électorale provisoire élue en assemblée générale. Son mandat prenait fin après l’AG de 2011", a-t-il déclaré, dans une interview accordée jeudi, à Radio Côte d’Ivo ire.
Selon lui, cette commission électorale a été mise en place entre juillet et septembre 2011 en accord avec la Fédération internationale de football association (FIFA) qui a donné la latitude au comité exécutif sortant dont il était le président, de proposer une liste de membres qui a été élue assemblée générale.
Jacques Anouma dit être contraint par le droit de réserve étant donné que l’affaire a été portée devant les tribunaux mais demande toutefois aux acteurs du mouvement sportif ivoirien de lire les statuts de la fédération qui sont " clairs" car ce ne sont pas les clubs qui étaient habilités à mettre en place cette commission électorale à partir de 2012 mais plutôt la FIF qui devait organiser l&rsquo ;élection de ses membres.
En réaction aux propos de présumés candidats à la présidence du comité exécutif de la FIF, le conseiller spécial du président de la fédération, Eric Tiacoh, avait rejeté la faute sur les présidents des clubs, arguant que ce sont eux qui devaient susciter la mise en place de la nouvelle commission électorale, rappelle-t-on.
Ces quatre candidats que sont Eric Monnet, Dao Mamadou, Koné Cheick Oumar, Eugène Diomandé ont soutenu devant la presse que le mandat de quatre ans de Sidy Diallo, entamé depuis septembre 2011, a pris fin depuis le 30 juin 2015 conformément aux dispositions des articles 34, 42 et 43 de la FIF.
fmo/kam