Abidjan – Le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman, a inauguré, lundi, à Abidjan, une salle de formation portant le nom du Pr Alassane Salif N’Diaye, "un devoir de mémoire" pour l’éminent professeur et scientifique, homme politique et diplomate.
En présence d'Adama Salif N’Diaye, fils de l'illustre disparu, Maurice Bandaman a découvert l’écrite au portant son nom, au siège de la Commission nationale de la francophonie, à Cocody-II Plateaux, et rappelé qu’il était un homme ouvert, généreux, affable, chaleureux, brillant, et éloquent dont "le verbe, les articles et discours étaient marqués du sceau de l’élégance et du raffinement".
"C’est un devoir de mémoire qui nous rappelle la phrase au fronton du panthéon parisien, +aux grands hommes, la patrie reconnaissante+", a-t-il ajouté.
Pour la secrétaire générale de la Commission nationale de la francophonie, Mme Khady Diallo, la dédicace d’une salle à l’éminent professeur vise à perpétuer sa mémoire pour les jeunes générations.
Au nom de la famille de l’ancien ministre de l’Enseignement supérieur et secrétaire général de l’Union pour la démocratie et la paix (UDPCI), le Pr Aïdara Daouda, a indiqué qu’il a mené "une vie pleine et accomplie" et qu’il est un grand intellectuel.
Après avoir enseigné en France et en Côte d'Ivoire, Alassane Salif N’Diaye a occupé le poste de doyen de la faculté des sciences et techniques de l'université nationale de Côte d'Ivoire de 1983 à 1984. Il est professeur émérite de biologie cellulaire et d’embryologie.
Ministre à différentes reprises entre 1986 et 1995, Alassane Salif N'Diaye a également occupé plusieurs fonctions diplomatiques en tant qu’ambassadeur de la Côte d'Ivoire près les Républiques du Sénégal, de Mauritanie, de Gambie et du Cap-Vert (entre 1997 et 2000).
Il a également représenté la Côte d'Ivoire près la République française (2000 à 2001) et a été membre du Haut Conseil de la francophonie (à partir de 1984) et du Conseil permanent de la francophonie (1991 à 1997).
Il a été Officier de l’ordre de l’Éducation nationale de Côte d’Ivoire, Commandeur respectivement de l’ordre de la Culture, du Mérite, des Palmes académiques (France), l'ordre national du Lion du Sénégal et Grand Officier de l'ordre National (Portugal).
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En présence d'Adama Salif N’Diaye, fils de l'illustre disparu, Maurice Bandaman a découvert l’écrite au portant son nom, au siège de la Commission nationale de la francophonie, à Cocody-II Plateaux, et rappelé qu’il était un homme ouvert, généreux, affable, chaleureux, brillant, et éloquent dont "le verbe, les articles et discours étaient marqués du sceau de l’élégance et du raffinement".
"C’est un devoir de mémoire qui nous rappelle la phrase au fronton du panthéon parisien, +aux grands hommes, la patrie reconnaissante+", a-t-il ajouté.
Pour la secrétaire générale de la Commission nationale de la francophonie, Mme Khady Diallo, la dédicace d’une salle à l’éminent professeur vise à perpétuer sa mémoire pour les jeunes générations.
Au nom de la famille de l’ancien ministre de l’Enseignement supérieur et secrétaire général de l’Union pour la démocratie et la paix (UDPCI), le Pr Aïdara Daouda, a indiqué qu’il a mené "une vie pleine et accomplie" et qu’il est un grand intellectuel.
Après avoir enseigné en France et en Côte d'Ivoire, Alassane Salif N’Diaye a occupé le poste de doyen de la faculté des sciences et techniques de l'université nationale de Côte d'Ivoire de 1983 à 1984. Il est professeur émérite de biologie cellulaire et d’embryologie.
Ministre à différentes reprises entre 1986 et 1995, Alassane Salif N'Diaye a également occupé plusieurs fonctions diplomatiques en tant qu’ambassadeur de la Côte d'Ivoire près les Républiques du Sénégal, de Mauritanie, de Gambie et du Cap-Vert (entre 1997 et 2000).
Il a également représenté la Côte d'Ivoire près la République française (2000 à 2001) et a été membre du Haut Conseil de la francophonie (à partir de 1984) et du Conseil permanent de la francophonie (1991 à 1997).
Il a été Officier de l’ordre de l’Éducation nationale de Côte d’Ivoire, Commandeur respectivement de l’ordre de la Culture, du Mérite, des Palmes académiques (France), l'ordre national du Lion du Sénégal et Grand Officier de l'ordre National (Portugal).
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