Abidjan - Un atelier sur " la tarification de l’électricité" s’est ouvert, lundi, à Abidjan à l’intention de hauts cadres du secteur de l’énergie en provenance de 15 pays africains francophones.
Le ministre ivoirien du pétrole et de l’énergie, Adma Toungara a présidé la cérémonie d’ouverture. Son objectif est de relever le niveau de l’expertise des cadres africains sur la tarification des services publics et leur permettre d’en maitriser tous les ressorts, a expliqué, à cette occasion, le directeur général de l’Autorité nationale de régulation de l’électricité (ANARE), Hyppolite Ebagnitchié.
" Il donnera aux participants les outils et les mécanismes pour acquérir cette expertise dans l’intérêt bien compris de toutes les parties prenantes, à savoir l’Etat, les investis seurs et les populations", a-t-il affirmé.
Selon lui, "une bonne tarification suppose une évaluation correcte des coûts nécessaires à la fourniture du service de façon à déterminer les tarifs, en évitant de mettre des coûts qui ne se justifient pas en réalité. Une bonne tarification garantit également la qualité et la durabilité du service tout en assurant la viabilité des opérateurs qui y concourent".
M. Ebagnitchié, a indiqué que l’atelier est donc pour les formateurs venus de Belgique, du Canada et de la France et de pays africains francophones l’occasion d’examiner, d‘analyser et de présenter les méthodes et pratiques de la tarification en adoptant une approche pratique et instructive.
Le ministre Adama Toungara qui a dit sa fièrté de pré ;sider ces assises a assuré du soutien du gouvernement à cette formation sur la tarification qui, a-t-il relevé, est une action de régulation qui fait en sorte que les consommateurs soient les premiers bénéficiaires des biens recueillis.
Cet atelier est initié par l’ANARE en collaboration avec l’Institut pour la francophonie pour le développement durable. Il prend fin vendredi.
ik/ask
Le ministre ivoirien du pétrole et de l’énergie, Adma Toungara a présidé la cérémonie d’ouverture. Son objectif est de relever le niveau de l’expertise des cadres africains sur la tarification des services publics et leur permettre d’en maitriser tous les ressorts, a expliqué, à cette occasion, le directeur général de l’Autorité nationale de régulation de l’électricité (ANARE), Hyppolite Ebagnitchié.
" Il donnera aux participants les outils et les mécanismes pour acquérir cette expertise dans l’intérêt bien compris de toutes les parties prenantes, à savoir l’Etat, les investis seurs et les populations", a-t-il affirmé.
Selon lui, "une bonne tarification suppose une évaluation correcte des coûts nécessaires à la fourniture du service de façon à déterminer les tarifs, en évitant de mettre des coûts qui ne se justifient pas en réalité. Une bonne tarification garantit également la qualité et la durabilité du service tout en assurant la viabilité des opérateurs qui y concourent".
M. Ebagnitchié, a indiqué que l’atelier est donc pour les formateurs venus de Belgique, du Canada et de la France et de pays africains francophones l’occasion d’examiner, d‘analyser et de présenter les méthodes et pratiques de la tarification en adoptant une approche pratique et instructive.
Le ministre Adama Toungara qui a dit sa fièrté de pré ;sider ces assises a assuré du soutien du gouvernement à cette formation sur la tarification qui, a-t-il relevé, est une action de régulation qui fait en sorte que les consommateurs soient les premiers bénéficiaires des biens recueillis.
Cet atelier est initié par l’ANARE en collaboration avec l’Institut pour la francophonie pour le développement durable. Il prend fin vendredi.
ik/ask