L’affaire qui oppose l’actuel président de la Fédération ivoirienne de football (FIF), Sidy Diallo et le collectif des candidats à la présidence de la FIF, a été au centre d’une conférence de presse animée mardi par ledit collectif. Koné Cheick Oumar l’un des chefs de file du collectif a réagi suite à un courrier brandi par la FIF qui émanerait de la FIFA et trancherait en faveur de Sidy Diallo et son équipe. « Nous doutons de ce courrier sans numéro et sans cachet », a dit Koné Cheick Oumar.
Selon le collectif, ce courrier « douteux » ne saurait remettre en cause la légitimité de l’action menée en justice actuellement contre le président de la FIF. Koné Cheick Oumar, par ailleurs avocat a rappelé que ce courrier ne saurait être pris en compte par la justice vu que l’affaire est en délibérée et qu’en l’état plus aucune pièce ne devrait être reversée au dossier. Les dirigeants actuels de la FIF seraient dans une logique de diversion car conscients que leur bilan est loin de ce qu’attendait le peuple ivoirien, ont expliqué les conférenciers.
Le collectif s’est dit déterminé à faire respecter les textes de la FIF, qui selon lui, sont foulés au pied par Sidy Diallo et son équipe, en refusant d’organiser des élections pour la présidence de la FIF vu que son mandat est arrivé à terme. La Justice a donné rendez-vous ce mercredi aux protagonistes pour donner son verdict sur cette affaire.
Selon le collectif, ce courrier « douteux » ne saurait remettre en cause la légitimité de l’action menée en justice actuellement contre le président de la FIF. Koné Cheick Oumar, par ailleurs avocat a rappelé que ce courrier ne saurait être pris en compte par la justice vu que l’affaire est en délibérée et qu’en l’état plus aucune pièce ne devrait être reversée au dossier. Les dirigeants actuels de la FIF seraient dans une logique de diversion car conscients que leur bilan est loin de ce qu’attendait le peuple ivoirien, ont expliqué les conférenciers.
Le collectif s’est dit déterminé à faire respecter les textes de la FIF, qui selon lui, sont foulés au pied par Sidy Diallo et son équipe, en refusant d’organiser des élections pour la présidence de la FIF vu que son mandat est arrivé à terme. La Justice a donné rendez-vous ce mercredi aux protagonistes pour donner son verdict sur cette affaire.