Le Gouvernement a décidé de prendre à bras-le-corps le conflit récurrent éleveurs-paysans qui secoue des localités des régions nord de la Côte d’Ivoire depuis plusieurs années. C’est dans ce sens qu’a été a adopté en Conseil des ministres ce mercredi 9 septembre, un projet de loi. Selon le Porte-parole du Gouvernement, Bruno Koné qui divulgait cette information au sortir dudit conseil, ce projet de loi “vise à apporter une solution satisfaisante et durable à la question de la gestion du foncier agro-pastoral et en particulier, à celle liée à la cohabitation conflictuelle entre agriculteurs et éleveurs, notamment dans les régions du nord et du centre du pays”.
“Il s’agit précisément de mettre un terme aux affrontements entre ces deux communautés, qui ont par le passé occasionné de nombreuses pertes en vies humaines et des dégâts matériels importants, préjudiciables au développement rural et à la cohésion sociale”, a-t-il poursuivi.
Au soutien de cette nouvelle loi qui vient remplacer les dispositions réglementaires de 1970, Bruno Koné évoque “les ambitions importantes en matière d’élevage” de la Côte d’Ivore, au vu de son climat et sa végétation propices à cette activité mais qui veut désormais également protéger les agriculteurs.
«La Côte d’Ivoire dès 1970 a fait de l’élevage une priorité nationale donc s’est ainsi que nous avons pu voir cette activité se développer partout sur le territoire national, mais malheureusement souvent au détriment de l’agriculteur”, a rappelé le ministre de la Poste et des TIC.
Ainsi, énonce-t-il, le Gouvernement entend favoriser par le présent projet de loi, une cohabitation paisible entre agriculteurs et éleveurs à travers une meilleure maîtrise de la mobilité des animaux et une plus grande intégration des activités agricoles et pastorales.
“Ce projet de loi est en adéquation avec les politiques d’intégration régionale de la CEDEAO et de l’UEMOA, ainsi qu’avec les accords bilatéraux liant la Côte d’Ivoire à certains pays de la sous-région ouest-africaine”, a conclu le Porte-parole du Gouvernement.
“Il s’agit précisément de mettre un terme aux affrontements entre ces deux communautés, qui ont par le passé occasionné de nombreuses pertes en vies humaines et des dégâts matériels importants, préjudiciables au développement rural et à la cohésion sociale”, a-t-il poursuivi.
Au soutien de cette nouvelle loi qui vient remplacer les dispositions réglementaires de 1970, Bruno Koné évoque “les ambitions importantes en matière d’élevage” de la Côte d’Ivore, au vu de son climat et sa végétation propices à cette activité mais qui veut désormais également protéger les agriculteurs.
«La Côte d’Ivoire dès 1970 a fait de l’élevage une priorité nationale donc s’est ainsi que nous avons pu voir cette activité se développer partout sur le territoire national, mais malheureusement souvent au détriment de l’agriculteur”, a rappelé le ministre de la Poste et des TIC.
Ainsi, énonce-t-il, le Gouvernement entend favoriser par le présent projet de loi, une cohabitation paisible entre agriculteurs et éleveurs à travers une meilleure maîtrise de la mobilité des animaux et une plus grande intégration des activités agricoles et pastorales.
“Ce projet de loi est en adéquation avec les politiques d’intégration régionale de la CEDEAO et de l’UEMOA, ainsi qu’avec les accords bilatéraux liant la Côte d’Ivoire à certains pays de la sous-région ouest-africaine”, a conclu le Porte-parole du Gouvernement.