Abidjan– Le conseiller spécial du président de la Haute autorité pour la gouvernance (HABG), Brou Kouakou Mathurin, invite le patronat et les chefs d’entreprises à appliquer "une politique de tolérance zéro" à l’égard de la corruption, en se fondant sur les "principes de transparence, des codes de bonne conduite et du respect des normes comptables".
M. Kouakou qui s'exprimait, jeudi, lors d’un déjeuner-débat à Abidjan-Plateau dans le cadre de la campagne de sensibilisation des acteurs concernés par les textes relatifs à la prévention et à la lutte contre la corruption a donc demandé de faire la promotion de ces principes, afin d'atteindre l'objectif fixé, à savoir l'application effective de la "politique de tolérance zéro".
Il les a encouragés à s’engager publiquement dans la lutte contre ce fléau et à s’inscrire dans une action collective impliquant tous les acteurs aussi du secteur public que privé et la société civile.
Le directeur de la Sensibilisation et de l’Education, Jacques III Achiaou, a insisté sur les cas de corruption et infractions assimilées concernant le secteur privé lors de sa présentation des mécanismes de prévention et de lutte contre la corruption.
M. Achiaou a instruit ses interlocuteur sur de nouvelles dispositions qui rendent désormais la personne morale pénalement responsable qui peut être exclue des marchés publics, se voir interdire d’exercer et se s biens confisqués.
Il leur a demandé de respecter les normes comptables, de promouvoir la transparence en mettant en place des normes d’audit, des chartes d’éthique et de déontologie tout en se gardant des conflits d’intérêts, cadeaux et aux autres prises illégales d’intérêts.
Le recrutement à la fonction publique, la déclaration des biens par les agents publics, la transparence dans la passation des marchés publics, le financement des partis politiques, la protection des informateurs, la lutte contre le blanchiment d’argent étaient au menu de la rencontre.
Avant les chefs d’entreprise, la HABG avait déjà rencontré les ONG et les chefs traditionnels et religieux dans le cadre de cette campagne.
(AIP)
aaa/ask
M. Kouakou qui s'exprimait, jeudi, lors d’un déjeuner-débat à Abidjan-Plateau dans le cadre de la campagne de sensibilisation des acteurs concernés par les textes relatifs à la prévention et à la lutte contre la corruption a donc demandé de faire la promotion de ces principes, afin d'atteindre l'objectif fixé, à savoir l'application effective de la "politique de tolérance zéro".
Il les a encouragés à s’engager publiquement dans la lutte contre ce fléau et à s’inscrire dans une action collective impliquant tous les acteurs aussi du secteur public que privé et la société civile.
Le directeur de la Sensibilisation et de l’Education, Jacques III Achiaou, a insisté sur les cas de corruption et infractions assimilées concernant le secteur privé lors de sa présentation des mécanismes de prévention et de lutte contre la corruption.
M. Achiaou a instruit ses interlocuteur sur de nouvelles dispositions qui rendent désormais la personne morale pénalement responsable qui peut être exclue des marchés publics, se voir interdire d’exercer et se s biens confisqués.
Il leur a demandé de respecter les normes comptables, de promouvoir la transparence en mettant en place des normes d’audit, des chartes d’éthique et de déontologie tout en se gardant des conflits d’intérêts, cadeaux et aux autres prises illégales d’intérêts.
Le recrutement à la fonction publique, la déclaration des biens par les agents publics, la transparence dans la passation des marchés publics, le financement des partis politiques, la protection des informateurs, la lutte contre le blanchiment d’argent étaient au menu de la rencontre.
Avant les chefs d’entreprise, la HABG avait déjà rencontré les ONG et les chefs traditionnels et religieux dans le cadre de cette campagne.
(AIP)
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