Abidjan - La coordonnatrice nationale de la Convention de la société civile ivoirienne (CSCI), Hélène Gnionsahé, a appelé vendredi lors du Congrès extraordinaire de cette faîtière à Abidjan-Cocody, à l’unité de toutes les entités membres afin de lui permettre d’être forte et d’occuper toute sa place dans toutes les institutions du pays.
« La CSCI, notre organisation, a besoin de tous ses membres et de toutes ses compétences. Tournons-nous résolument vers l’avenir, notre avenir commun où la CSCI sera unie, forte et occupant toute sa place dans toutes les institutions du pays pour porter haut la voix de nos populations », a-t-elle déclaré, lors de la cérémonie d’ouverture, au siège de la Conférence épiscopale régionale de l’Afrique de l’Ouest (CERAO).
Après la crise de succession qui a mis à mal la cohésion au sien des membres de la Convention, la coordonnatrice a souligné l’opportunité pour eux de se construire maintenant avec abnégation, générosité et en toute confiance en vue d’être des exemples d’intégrité, de responsabilité, d’honnêteté et de solidarité qui doivent influencer les politiques.
Elle a exhorté les congressistes affectés pour la plupart par des « frustrations » à une participation active aux assises au cours desquelles il sera question de réviser les textes fondamentaux de l’organisation, faire le point de la commission des vérifications des comptes et plancher sur la situation de la branche dissidente.
La tenue de ce congrès extraordinaire fait suite aux décisions du Congrès ordinaire de décembre 2014 marqué par l’arrivée de l’actuelle équipe dirigeante à qui les participants avaient souhaité la convocation dans un délai de six mois, du collège pour la révision des textes et l’entame de démarches pour une réconciliation avec les dissidents, a précisé le président du conseil d’administration, Patrice N’Gouan.
Ce congrès qui prend fin samedi par une conférence de presse, comprend deux étapes majeures à savoir la convention générale et le congrès extraordinaire, a-t-on appris auprès du comité d’organisation.
(AIP)
fmo/cmas
« La CSCI, notre organisation, a besoin de tous ses membres et de toutes ses compétences. Tournons-nous résolument vers l’avenir, notre avenir commun où la CSCI sera unie, forte et occupant toute sa place dans toutes les institutions du pays pour porter haut la voix de nos populations », a-t-elle déclaré, lors de la cérémonie d’ouverture, au siège de la Conférence épiscopale régionale de l’Afrique de l’Ouest (CERAO).
Après la crise de succession qui a mis à mal la cohésion au sien des membres de la Convention, la coordonnatrice a souligné l’opportunité pour eux de se construire maintenant avec abnégation, générosité et en toute confiance en vue d’être des exemples d’intégrité, de responsabilité, d’honnêteté et de solidarité qui doivent influencer les politiques.
Elle a exhorté les congressistes affectés pour la plupart par des « frustrations » à une participation active aux assises au cours desquelles il sera question de réviser les textes fondamentaux de l’organisation, faire le point de la commission des vérifications des comptes et plancher sur la situation de la branche dissidente.
La tenue de ce congrès extraordinaire fait suite aux décisions du Congrès ordinaire de décembre 2014 marqué par l’arrivée de l’actuelle équipe dirigeante à qui les participants avaient souhaité la convocation dans un délai de six mois, du collège pour la révision des textes et l’entame de démarches pour une réconciliation avec les dissidents, a précisé le président du conseil d’administration, Patrice N’Gouan.
Ce congrès qui prend fin samedi par une conférence de presse, comprend deux étapes majeures à savoir la convention générale et le congrès extraordinaire, a-t-on appris auprès du comité d’organisation.
(AIP)
fmo/cmas