Abengourou, la capitale de la région de l’Indénié-Djuablin, se prépare à accueillir "chaleureusement" le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, qui y effectuera une visite d’Etat du 16 au 19 septembre.
Plusieurs édifices publics et des routes sont en construction ou en rénovation pour donner fière allure à la ville et permettre à l’illustre hôte de passer un agréable séjour dans la "cité royale de la paix". Les travaux portent, entre autres, sur la préfecture de région, les résidences présidentielle et préfectorale et le stade Henri Konan Bédié qui abritera le meeting de clôture.
Les responsables des entreprises en charge de ces travaux assurent que tout sera achevé et livré dans les délais.
"Nous sommes à l’ouvrage et nous serons prêts avant l’arrivée du président", assure le chef du chantier de la préfecture, Diarrassouba Aboubacar.
La voirie n’est pas en reste de ces travaux. Plusieurs artères de la ville d’Abengourou sont en cours de réhabilitation. Quelques six kilomètres de bitumes sont prévues pour y être réalisés dans le cadre de cette visite d’Etat sur les 15km accordés à l’ensemble de la région de l’Indénié-Djuablin.
Outre les travaux, les réunions se succèdent à un rythme effréné autour du préfet de région, Fadi Ouattara, pour régler tous les détails de l’organisation pratique de cette visite présidentielle. Les jeunes, qui prennent une part active dans ces préparatifs, promettent de réserver au chef de l’Etat « un accueil chaleureux » pour lui témoigner leur affection et leur soutien.
"Nous allons nous mobiliser comme un seul homme pour accueillir chaleureusement le chef de l’Etat", ont déclaré en cœur le président de la fédération des associations et mouvements de jeunesse de l’Indénié-Djuablin (FAMJID), Adou Richard Désiré et celui du réseau des associations de jeunesse dans l’Indénié-Djuablin (RAJID), Ahonon René Israël.
Les femmes ne sont pas en reste de cet élan de mobilisation. "Le président de la République nous rend visite. Il ya longtemps que nous attendons ce moment. L’accueil sera donc à la dimension de nos attentes, car nous les femmes nous attendons beaucoup de lui", assurent Mmes Koné Kofimba et Konaté Christine, toutes deux leaders de mouvements féminines.
(AIP)
rkk/kam
Plusieurs édifices publics et des routes sont en construction ou en rénovation pour donner fière allure à la ville et permettre à l’illustre hôte de passer un agréable séjour dans la "cité royale de la paix". Les travaux portent, entre autres, sur la préfecture de région, les résidences présidentielle et préfectorale et le stade Henri Konan Bédié qui abritera le meeting de clôture.
Les responsables des entreprises en charge de ces travaux assurent que tout sera achevé et livré dans les délais.
"Nous sommes à l’ouvrage et nous serons prêts avant l’arrivée du président", assure le chef du chantier de la préfecture, Diarrassouba Aboubacar.
La voirie n’est pas en reste de ces travaux. Plusieurs artères de la ville d’Abengourou sont en cours de réhabilitation. Quelques six kilomètres de bitumes sont prévues pour y être réalisés dans le cadre de cette visite d’Etat sur les 15km accordés à l’ensemble de la région de l’Indénié-Djuablin.
Outre les travaux, les réunions se succèdent à un rythme effréné autour du préfet de région, Fadi Ouattara, pour régler tous les détails de l’organisation pratique de cette visite présidentielle. Les jeunes, qui prennent une part active dans ces préparatifs, promettent de réserver au chef de l’Etat « un accueil chaleureux » pour lui témoigner leur affection et leur soutien.
"Nous allons nous mobiliser comme un seul homme pour accueillir chaleureusement le chef de l’Etat", ont déclaré en cœur le président de la fédération des associations et mouvements de jeunesse de l’Indénié-Djuablin (FAMJID), Adou Richard Désiré et celui du réseau des associations de jeunesse dans l’Indénié-Djuablin (RAJID), Ahonon René Israël.
Les femmes ne sont pas en reste de cet élan de mobilisation. "Le président de la République nous rend visite. Il ya longtemps que nous attendons ce moment. L’accueil sera donc à la dimension de nos attentes, car nous les femmes nous attendons beaucoup de lui", assurent Mmes Koné Kofimba et Konaté Christine, toutes deux leaders de mouvements féminines.
(AIP)
rkk/kam