Après deux ans de mise en œuvre, le Programme National d’Investissement Agricole (PNIA) entre 2012 et 2014 a contribué à la création d’emplois et à la hausse de la production des cultures vivrières et de rente en Côte d’Ivoire. C’est ce qui ressort d’une communication adoptée en conseil des ministres ce vendredi 18 septembre à Abengourou. Présentée au titre du ministère de l’Agriculture, en liaison avec le Ministère des Ressources Animales et Halieutiques et le ministère des Eaux et Forêts, cette communication a révélé que le PNIA adopté en août 2012,a démarré en octobre de la même année et bénéficié de 2012 à 2014 de 1 072 milliards de FCFA, dont 680 milliards issus du financement des partenaires techniques et financiers.
« Deux ans après le démarrage du programme, l’application rigoureuse des réformes engagées dans le secteur, les appuis spécifiques initiés par les projets et l’amélioration de la gouvernance agricole ont permis de renforcer considérablement la productivité et d’améliorer les conditions de vie des populations, en particulier des producteurs agricoles » renseigne la communication présentée par Mamadou Sangafowa Coulibaly.
« Le PNIA est également devenu une véritable source de création d’emplois avec le développement de nombreux projets agricoles », assure cette communication qui révèle en outre que de 2011 à 2014, le cumul des productions vivrières est passé de 11 803 131 tonnes à 15 941 470 tonnes, soit une augmentation de 35%.
« La production du riz blanchi, en particulier, a augmenté de 793 000 tonnes, en passant de 550 000 tonnes en 2011 à 1 343 000 tonnes en 2014, soit une augmentation de 144% », rapporte cette communication.
En ce qui concerne les cultures pérennes, l’on apprend avec cette communication que celles-ci se sont également accrues avec le PNIA. Ainsi de 2011 à 2014, les productions des principales cultures de rente constituées notamment par le cacao, le café, le coton et l’anacarde sont passées de 2 033 681 tonnes à 2 344 662 tonnes, soit une augmentation de 15, 3%.
De son côté, la production animale a connu une augmentation généralisée. Plus spécifiquement, les cheptels porcins et volailles notamment ont enregistré respectivement un croît de 12.954 têtes de porcins, soit un taux de croissance de 3,70%, et un croît de 15 247 019 têtes de volailles, soit un taux de croissance de 35,5%, apprend-on.
« Cette amélioration de la productivité agricole généralisée, grâce au PNIA, a entraîné corrélativement une nette amélioration de la sécurité alimentaire, mais surtout une nette augmentation du niveau des ressources captées par les producteurs », poursuit la communication.
« Le revenu cumulé des cultures vivrières et des cultures de rente capté par les producteurs est ainsi passé de 3.370,2 milliards de F CFA en 2012 à 5.110,6 de F CFA en 2014 », ajoute le document soutenu par le ministre de l’Agriculture.
En ce qui concerne la situation des emplois au 31 mai 2015, la communication fait savoir que 1 062 848 emplois directs ont été créés par les projets mobilisés par le PNIA, conclut la communication qui s’est attiré les félicitations du Gouvernement pour le renforcement visible du potentiel des productions agricoles par le PNIA.
« Deux ans après le démarrage du programme, l’application rigoureuse des réformes engagées dans le secteur, les appuis spécifiques initiés par les projets et l’amélioration de la gouvernance agricole ont permis de renforcer considérablement la productivité et d’améliorer les conditions de vie des populations, en particulier des producteurs agricoles » renseigne la communication présentée par Mamadou Sangafowa Coulibaly.
« Le PNIA est également devenu une véritable source de création d’emplois avec le développement de nombreux projets agricoles », assure cette communication qui révèle en outre que de 2011 à 2014, le cumul des productions vivrières est passé de 11 803 131 tonnes à 15 941 470 tonnes, soit une augmentation de 35%.
« La production du riz blanchi, en particulier, a augmenté de 793 000 tonnes, en passant de 550 000 tonnes en 2011 à 1 343 000 tonnes en 2014, soit une augmentation de 144% », rapporte cette communication.
En ce qui concerne les cultures pérennes, l’on apprend avec cette communication que celles-ci se sont également accrues avec le PNIA. Ainsi de 2011 à 2014, les productions des principales cultures de rente constituées notamment par le cacao, le café, le coton et l’anacarde sont passées de 2 033 681 tonnes à 2 344 662 tonnes, soit une augmentation de 15, 3%.
De son côté, la production animale a connu une augmentation généralisée. Plus spécifiquement, les cheptels porcins et volailles notamment ont enregistré respectivement un croît de 12.954 têtes de porcins, soit un taux de croissance de 3,70%, et un croît de 15 247 019 têtes de volailles, soit un taux de croissance de 35,5%, apprend-on.
« Cette amélioration de la productivité agricole généralisée, grâce au PNIA, a entraîné corrélativement une nette amélioration de la sécurité alimentaire, mais surtout une nette augmentation du niveau des ressources captées par les producteurs », poursuit la communication.
« Le revenu cumulé des cultures vivrières et des cultures de rente capté par les producteurs est ainsi passé de 3.370,2 milliards de F CFA en 2012 à 5.110,6 de F CFA en 2014 », ajoute le document soutenu par le ministre de l’Agriculture.
En ce qui concerne la situation des emplois au 31 mai 2015, la communication fait savoir que 1 062 848 emplois directs ont été créés par les projets mobilisés par le PNIA, conclut la communication qui s’est attiré les félicitations du Gouvernement pour le renforcement visible du potentiel des productions agricoles par le PNIA.