• Madame le Ministre auprès du Premier Ministre, chargé de l’Economie et des Finances ;
• Messieurs les Membres du Gouvernement ;
• Excellences Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs et Membres du corps diplomatique ;
• Mesdame et Messieurs les Représentants des Organisations bilatérales, régionales et multilatérales de développement ;
• Mesdames et Messieurs les hauts responsables et membres des organisations patronales ;
• Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux et Directeurs Centraux de l’Administration Publique et du Secteur Privé ;
• Monsieur le Directeur Général du du Groupe Intergouvernemental d’Action contre le Blanchiment d’Argent en Afrique de l’Ouest (GIABA) ;
• Monsieur le Président de la CENTIF Côte d’Ivoire, Correspondant National du GIABA ;
• Honorables Invités ;
• Chers amis des Médias ;
• Mesdames et Messieurs ;
Je suis particulièrement heureux de présider, ce jour, la cérémonie officielle d’ouverture dans notre belle capitale économique Abidjan, du Centre d’Information sur la Lutte contre le Blanchiment de Capitaux et le Financement du Terrorisme (LBC/FT) du Groupe Intergouvernemental d’Action contre le Blanchiment d’Argent en Afrique de l’Ouest (GIABA).
Je voudrais, avant tout propos, au nom du Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTTARA, adresser mes salutations les plus chaleureuses à l’ensemble des participants, dont la présence distinguée rehausse l’éclat de cette cérémonie, et vous dire combien notre pays est honoré d’abriter ce Centre dédié aux pays d’expression française et portugaise de la CEDEAO.
Aussi, voudrais-je saisir cette heureuse occasion, pour adresser mes sincères remerciements à l’ensemble des pays fondateurs, aux Autorités de la CEDEAO, et tout particulièrement au Secrétariat du GIABA pour avoir maintenu leur confiance en la Côte d’Ivoire, malgré la crise qu’à connue notre pays, durant la décennie 2000-2011.
Vous me permettrez également, de féliciter tous les organisateurs de cette cérémonie avec à leur tête, le Directeur Général du GIABA, Monsieur Adama COULIBALY. Leur engagement et leur détermination ont permis de faire aboutir ce processus.
• Ecellences Mesdames et Messieurs,
Le monde est de plus en plus en proie au terrorisme, à la criminalité transfrontalière et à la cybercriminalité, auxquels notre région n’échappe pas.
En effet, le mouvement de globalisation des échanges accéléré depuis les années 1990, induit l’interconnexion des systèmes financiers et la célérité de déplacement des capitaux.
Cela présente des avantages considérables pour les échanges et la stimulation de l’activité économique, tout en constituant un important facteur de vulnérabilité. Or, chaque faille, chaque défaillance dans le système de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme d’un pays menace non seulement ce pays mais également l’ensemble du secteur financier régional et international auquel il est connecté.
L’aptitude des pays à traiter individuellement ces questions étant limitée, en raison de la nature, de la complexité et de la dimension internationale de celles-ci, la coopération étroite entre les pays s’est avérée indispensable ainsi qu’une compréhension plus grande de ces problèmes ; ce qui explique les initiatives de la Communauté internationale.
En effet, l’incrimination du blanchiment de capitaux, riposte de la Communauté internationale, face à un problème d’envergure internationale, trouve son origine dans les différentes conventions des Nations Unies.
L’enjeu pour nos Etats, dans la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, réside désormais dans la stricte application des normes internationales.
C’est à ce titre que le GIABA constitue une réponse appropriée de notre communauté, en ligne avec les standards internationaux, à toutes ces menaces.
Je voudrais rappeler, que le 26 novembre 2010, lors de sa 65ème Session Ordinaire tenue à Abuja au Nigéria, le Conseil des Ministres de la CEDEAO s’est convaincu de l’idée que le potentiel des médias pouvait contribuer à accroître la capacité de sensibilisation et de formation des acteurs impliqués dans la LBC/FT.
Dans ce sens, il a entériné la décision du Comité Ministériel du GIABA de créer deux (02) Centres d’Information sur la LBC/FT dont l’un basé à Lagos pour les pays anglophones et l’autre à Abidjan pour les pays francophones et lusophones.
Si celui de Lagos est opérationnel depuis 2011, celui d’Abidjan n’a pu l’être jusqu’à ce jour du fait de la crise socio-politique qu’avait traversée notre pays.
Toutefois, le Gouvernement ivoirien s’est engagé, sous la haute égide du Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, dès son avènement à la magistrature suprême, de créer les conditions idoines au renouement et au renforcement de la confiance des partenaires en la Côte d’Ivoire.
Cet engagement s’est matérialisé par des actions fortes sur le triple axe de :
1- la Paix et la Sécurité ;
2- la Réconciliation nationale et la Cohésion sociale ;
3- la Relance économique et la Reconstruction post-crise.
Les nombreux efforts et réformes entrepris dans ce sens ont permis à notre pays de réaliser, dans un environnement apaisé, des progrès économiques rapides et soutenus et de se positionner sur une trajectoire de croissance forte, durable et inclusive avec un taux moyen de 9% au cours des trois dernières années, taux parmi les plus élevés dans le monde.
Ces avancées notables ont favorisé le retour dans notre pays de nombreuses Institutions internationales, notamment la Banque Africaine de Développement (BAD), le FIDA, Afreximbank, Eximbank Inde, l’OPIC (USA), Africa rice. Il en va de même pour de grandes multinationales telles que General Electric, Microsoft, Exxon Mobil, etc…
Aujourd’hui, avec l’installation de ce centre à Abidjan, la CEDEAO à travers, les Instances du GIABA, renouvelle leur confiance en la Côte d’Ivoire.
Cette confiance renouvelée, est la preuve supplémentaire que notre pays, après la décennie de crises qu’il a connues, a, nous pouvons le dire avec assurance, renoué avec la paix, la stabilité politique et le développement économique.
• Mesdames et Messieurs,
La tenue de la présente cérémonie est donc d’un intérêt particulier pour le Gouvernement ivoirien.
Il s’inscrit indéniablement dans la dynamique de reprise économique de notre pays ainsi que la manifestation du désir ardent du Président de la République, SEM Alassane OUATTARA, de redonner à notre pays son rayonnement d’antan, en le repositionnant comme un des grands pôles de croissance et de moteur du développement économique et social de la région Ouest Africaine.
Ainsi, depuis 2011, de nombreuses actions ont été engagées pour le renforcement de la stabilité économique de notre pays. Au niveau économique, le Gouvernement a entrepris la mise en œuvre de profondes réformes structurelles et sectorielles aussi bien au plan national que sous régional.
Au niveau institutionnel, l’action du Gouvernement s’est inscrite dans un processus hardi de lutte contre toutes les formes de mauvaise gouvernance.
C’est ainsi qu’a été mis en place la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance, dotée de moyens financiers et juridiques adéquats pour mener à bien sa mission.
La nomination de son deuxième Président, Monsieur Seydou Elimane Diarra, ancien Premier Ministre, le 24 mars 2015, et des autres membres de cette importante Institution, marque la volonté du Gouvernement ivoirien de combattre, plus que par le passé, ces pratiques qui font perdre à notre pays, les ressources dont il a urgemment besoin pour le financement de son développement.
L’ouverture du Centre d’Information sur la Lutte contre le Blanchiment de Capitaux et le Financement du Terrorisme (LBC/FT) du GIABA ici à Abidjan, en plus de la Cellule Nationale de Traitement des Informations Financières (CENTIF), ne fera que compléter et dynamiser notre arsenal de lutte contre la mauvaise gouvernance.
• Excellences Mesdames et Messieurs,
• Honorables invités,
Notre région fait face, depuis quelques années, à de nombreux attentats et menaces terroristes qui fragilisent chaque jour nos économies et sèment la désolation dans nos pays. Au vu de ces évènements tragiques et douloureux, le rôle à jouer par ces Centres d’Information sur la Lutte contre le Blanchiment de Capitaux et le Financement du Terrorisme apparaît plus que jamais d’une importance extrême. Ce rôle consitera notamment en :
• Une meilleure sensibilisation des populations, en particulier les jeunes et les organisations de la société civile ;
• Une formation et un encadrement approprié des parties prenantes à la LBC/FT ;
• Une facilité d’accès à l’information sur la LBC/FT ;
• Un accroissement de la visibilité des actions du GIABA dans les Etats membres ;
• Une contribution au renforcement accru de l’intégration sous-régionale par la promotion des bonnes pratiques et des valeurs de la bonne gouvernance ;
• Un renforcement de la coopération et de l’assistance technique régionale et internationale en matière de LBC/FT ;
• la prévention et à la réduction des risques liés à la LBC/FT dans la région ouest-africaine .
L’objectif visé est de combattre efficacement le terrorisme par le partage d’information et l’encadrement des activités suspectes et de rassurer les investisseurs sur l’avenir de la CEDEAO en général et de notre pays en particulier. Ce dispositif devrait permettre également de générer des plus-values pour nos Etats, évualées pour la Côte d’Ivoire à 250 millions de FCFA par an.
Je reste confiant que ce rôle et ses objectifs seront pleinement atteints, grâce au leadership dont le GIABA saura, j’en suis sûr, faire preuve.
• Monsieur le Directeur Général du GIABA,
Je vous encourage en conséquence à poursuivre vos heureuses initiatives pour que ce Centre remplisse sa mission dans l’intérêt partagé de nos Etats.
• Excellences, Mesdames et Messieurs,
• Honorables invités,
En vous réitérant mes remerciements pour votre présence distinguée, je déclare ouvert, au nom du Président de la République, SEM. Alassane OUATTARA, le Centre d’Information sur la Lutte contre le Blanchiment de Capitaux et le Financement du Terrorisme (LBC/FT) du GIABA à Abidjan.
Je vous remercie de votre aimable attention.
• Messieurs les Membres du Gouvernement ;
• Excellences Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs et Membres du corps diplomatique ;
• Mesdame et Messieurs les Représentants des Organisations bilatérales, régionales et multilatérales de développement ;
• Mesdames et Messieurs les hauts responsables et membres des organisations patronales ;
• Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux et Directeurs Centraux de l’Administration Publique et du Secteur Privé ;
• Monsieur le Directeur Général du du Groupe Intergouvernemental d’Action contre le Blanchiment d’Argent en Afrique de l’Ouest (GIABA) ;
• Monsieur le Président de la CENTIF Côte d’Ivoire, Correspondant National du GIABA ;
• Honorables Invités ;
• Chers amis des Médias ;
• Mesdames et Messieurs ;
Je suis particulièrement heureux de présider, ce jour, la cérémonie officielle d’ouverture dans notre belle capitale économique Abidjan, du Centre d’Information sur la Lutte contre le Blanchiment de Capitaux et le Financement du Terrorisme (LBC/FT) du Groupe Intergouvernemental d’Action contre le Blanchiment d’Argent en Afrique de l’Ouest (GIABA).
Je voudrais, avant tout propos, au nom du Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTTARA, adresser mes salutations les plus chaleureuses à l’ensemble des participants, dont la présence distinguée rehausse l’éclat de cette cérémonie, et vous dire combien notre pays est honoré d’abriter ce Centre dédié aux pays d’expression française et portugaise de la CEDEAO.
Aussi, voudrais-je saisir cette heureuse occasion, pour adresser mes sincères remerciements à l’ensemble des pays fondateurs, aux Autorités de la CEDEAO, et tout particulièrement au Secrétariat du GIABA pour avoir maintenu leur confiance en la Côte d’Ivoire, malgré la crise qu’à connue notre pays, durant la décennie 2000-2011.
Vous me permettrez également, de féliciter tous les organisateurs de cette cérémonie avec à leur tête, le Directeur Général du GIABA, Monsieur Adama COULIBALY. Leur engagement et leur détermination ont permis de faire aboutir ce processus.
• Ecellences Mesdames et Messieurs,
Le monde est de plus en plus en proie au terrorisme, à la criminalité transfrontalière et à la cybercriminalité, auxquels notre région n’échappe pas.
En effet, le mouvement de globalisation des échanges accéléré depuis les années 1990, induit l’interconnexion des systèmes financiers et la célérité de déplacement des capitaux.
Cela présente des avantages considérables pour les échanges et la stimulation de l’activité économique, tout en constituant un important facteur de vulnérabilité. Or, chaque faille, chaque défaillance dans le système de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme d’un pays menace non seulement ce pays mais également l’ensemble du secteur financier régional et international auquel il est connecté.
L’aptitude des pays à traiter individuellement ces questions étant limitée, en raison de la nature, de la complexité et de la dimension internationale de celles-ci, la coopération étroite entre les pays s’est avérée indispensable ainsi qu’une compréhension plus grande de ces problèmes ; ce qui explique les initiatives de la Communauté internationale.
En effet, l’incrimination du blanchiment de capitaux, riposte de la Communauté internationale, face à un problème d’envergure internationale, trouve son origine dans les différentes conventions des Nations Unies.
L’enjeu pour nos Etats, dans la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, réside désormais dans la stricte application des normes internationales.
C’est à ce titre que le GIABA constitue une réponse appropriée de notre communauté, en ligne avec les standards internationaux, à toutes ces menaces.
Je voudrais rappeler, que le 26 novembre 2010, lors de sa 65ème Session Ordinaire tenue à Abuja au Nigéria, le Conseil des Ministres de la CEDEAO s’est convaincu de l’idée que le potentiel des médias pouvait contribuer à accroître la capacité de sensibilisation et de formation des acteurs impliqués dans la LBC/FT.
Dans ce sens, il a entériné la décision du Comité Ministériel du GIABA de créer deux (02) Centres d’Information sur la LBC/FT dont l’un basé à Lagos pour les pays anglophones et l’autre à Abidjan pour les pays francophones et lusophones.
Si celui de Lagos est opérationnel depuis 2011, celui d’Abidjan n’a pu l’être jusqu’à ce jour du fait de la crise socio-politique qu’avait traversée notre pays.
Toutefois, le Gouvernement ivoirien s’est engagé, sous la haute égide du Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, dès son avènement à la magistrature suprême, de créer les conditions idoines au renouement et au renforcement de la confiance des partenaires en la Côte d’Ivoire.
Cet engagement s’est matérialisé par des actions fortes sur le triple axe de :
1- la Paix et la Sécurité ;
2- la Réconciliation nationale et la Cohésion sociale ;
3- la Relance économique et la Reconstruction post-crise.
Les nombreux efforts et réformes entrepris dans ce sens ont permis à notre pays de réaliser, dans un environnement apaisé, des progrès économiques rapides et soutenus et de se positionner sur une trajectoire de croissance forte, durable et inclusive avec un taux moyen de 9% au cours des trois dernières années, taux parmi les plus élevés dans le monde.
Ces avancées notables ont favorisé le retour dans notre pays de nombreuses Institutions internationales, notamment la Banque Africaine de Développement (BAD), le FIDA, Afreximbank, Eximbank Inde, l’OPIC (USA), Africa rice. Il en va de même pour de grandes multinationales telles que General Electric, Microsoft, Exxon Mobil, etc…
Aujourd’hui, avec l’installation de ce centre à Abidjan, la CEDEAO à travers, les Instances du GIABA, renouvelle leur confiance en la Côte d’Ivoire.
Cette confiance renouvelée, est la preuve supplémentaire que notre pays, après la décennie de crises qu’il a connues, a, nous pouvons le dire avec assurance, renoué avec la paix, la stabilité politique et le développement économique.
• Mesdames et Messieurs,
La tenue de la présente cérémonie est donc d’un intérêt particulier pour le Gouvernement ivoirien.
Il s’inscrit indéniablement dans la dynamique de reprise économique de notre pays ainsi que la manifestation du désir ardent du Président de la République, SEM Alassane OUATTARA, de redonner à notre pays son rayonnement d’antan, en le repositionnant comme un des grands pôles de croissance et de moteur du développement économique et social de la région Ouest Africaine.
Ainsi, depuis 2011, de nombreuses actions ont été engagées pour le renforcement de la stabilité économique de notre pays. Au niveau économique, le Gouvernement a entrepris la mise en œuvre de profondes réformes structurelles et sectorielles aussi bien au plan national que sous régional.
Au niveau institutionnel, l’action du Gouvernement s’est inscrite dans un processus hardi de lutte contre toutes les formes de mauvaise gouvernance.
C’est ainsi qu’a été mis en place la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance, dotée de moyens financiers et juridiques adéquats pour mener à bien sa mission.
La nomination de son deuxième Président, Monsieur Seydou Elimane Diarra, ancien Premier Ministre, le 24 mars 2015, et des autres membres de cette importante Institution, marque la volonté du Gouvernement ivoirien de combattre, plus que par le passé, ces pratiques qui font perdre à notre pays, les ressources dont il a urgemment besoin pour le financement de son développement.
L’ouverture du Centre d’Information sur la Lutte contre le Blanchiment de Capitaux et le Financement du Terrorisme (LBC/FT) du GIABA ici à Abidjan, en plus de la Cellule Nationale de Traitement des Informations Financières (CENTIF), ne fera que compléter et dynamiser notre arsenal de lutte contre la mauvaise gouvernance.
• Excellences Mesdames et Messieurs,
• Honorables invités,
Notre région fait face, depuis quelques années, à de nombreux attentats et menaces terroristes qui fragilisent chaque jour nos économies et sèment la désolation dans nos pays. Au vu de ces évènements tragiques et douloureux, le rôle à jouer par ces Centres d’Information sur la Lutte contre le Blanchiment de Capitaux et le Financement du Terrorisme apparaît plus que jamais d’une importance extrême. Ce rôle consitera notamment en :
• Une meilleure sensibilisation des populations, en particulier les jeunes et les organisations de la société civile ;
• Une formation et un encadrement approprié des parties prenantes à la LBC/FT ;
• Une facilité d’accès à l’information sur la LBC/FT ;
• Un accroissement de la visibilité des actions du GIABA dans les Etats membres ;
• Une contribution au renforcement accru de l’intégration sous-régionale par la promotion des bonnes pratiques et des valeurs de la bonne gouvernance ;
• Un renforcement de la coopération et de l’assistance technique régionale et internationale en matière de LBC/FT ;
• la prévention et à la réduction des risques liés à la LBC/FT dans la région ouest-africaine .
L’objectif visé est de combattre efficacement le terrorisme par le partage d’information et l’encadrement des activités suspectes et de rassurer les investisseurs sur l’avenir de la CEDEAO en général et de notre pays en particulier. Ce dispositif devrait permettre également de générer des plus-values pour nos Etats, évualées pour la Côte d’Ivoire à 250 millions de FCFA par an.
Je reste confiant que ce rôle et ses objectifs seront pleinement atteints, grâce au leadership dont le GIABA saura, j’en suis sûr, faire preuve.
• Monsieur le Directeur Général du GIABA,
Je vous encourage en conséquence à poursuivre vos heureuses initiatives pour que ce Centre remplisse sa mission dans l’intérêt partagé de nos Etats.
• Excellences, Mesdames et Messieurs,
• Honorables invités,
En vous réitérant mes remerciements pour votre présence distinguée, je déclare ouvert, au nom du Président de la République, SEM. Alassane OUATTARA, le Centre d’Information sur la Lutte contre le Blanchiment de Capitaux et le Financement du Terrorisme (LBC/FT) du GIABA à Abidjan.
Je vous remercie de votre aimable attention.