Abidjan - Le gouvernement a adopté en conseil des ministres mercredi un décret modificatif de celui instituant le Conseil national du travail (CNT) qui vient changer le nom de l’institution désormais dénommée le Conseil national de dialogue social (CNDS), avec des missions renforcées.
Instrument de veille sociale créé en 2007, le CNT devait initialement contribuer à la prévention et à la gestion le cas échéant des conflits dans le milieu du travail, exclusivement dans le secteur privé.
L’inefficacité du CNT à remplir totalement cette mission a justifié les modificati ons apportées par le gouvernement, a expliqué son porte-parole, Bruno Nabagné Koné, annonçant la prise du nouveau décret.
"Ainsi le CNT devient le Conseil national de dialogue social (CNDS)", a-t-il informé, notant le fait que cette nouvelle dénomination est plus claire est plus explicite et cadre mieux avec la mission de promotion du dialogue social dévolue à l’institution.
Outre la dénomination, quelques modifications ont été également opérées au niveau de l’organisation et du fonctionnement de l’institution qui voit aussi ses missions renforcées, a fait savoir en outre le ministre Nabagné Koné.
L’institution voit notamment sa sphère de compétence, initialement restreinte au secteur privé, s’étendre au niveau des secteurs publics et parapublics, a noté le porte-parole du gouvernement.
Kg/akn/ask
Instrument de veille sociale créé en 2007, le CNT devait initialement contribuer à la prévention et à la gestion le cas échéant des conflits dans le milieu du travail, exclusivement dans le secteur privé.
L’inefficacité du CNT à remplir totalement cette mission a justifié les modificati ons apportées par le gouvernement, a expliqué son porte-parole, Bruno Nabagné Koné, annonçant la prise du nouveau décret.
"Ainsi le CNT devient le Conseil national de dialogue social (CNDS)", a-t-il informé, notant le fait que cette nouvelle dénomination est plus claire est plus explicite et cadre mieux avec la mission de promotion du dialogue social dévolue à l’institution.
Outre la dénomination, quelques modifications ont été également opérées au niveau de l’organisation et du fonctionnement de l’institution qui voit aussi ses missions renforcées, a fait savoir en outre le ministre Nabagné Koné.
L’institution voit notamment sa sphère de compétence, initialement restreinte au secteur privé, s’étendre au niveau des secteurs publics et parapublics, a noté le porte-parole du gouvernement.
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