Abidjan - Une délégation de la Centrafrique conduite par la Ministre de la Réconciliation nationale, du dialogue politique et de la promotion de la culture civique, Lydie Florence N’douba a échangé, vendredi, à Abidjan avec les autorités ivoiriennes pour dit-elle, s’inspirer du modèle ivoirien en matière de réconciliation nationale et de cohésion sociale.
« Nous sommes venus profiter de l’expérience que vous avez (…) nous sommes à votre école », a déclaré Mme N’douba au cours d’une rencontre avec la Directrice générale Programme national de cohésion sociale (PNCS), Pr Mariatou Koné. Selon elle, cette visite en terre ivoirienne se fait en prélude à la mise en place prochaine d’une Commission, vérité, justice et réparation en Centrafrique.
« Au mois de mai dernier, nous avons organisé un forum à Bangui » qui a permis d’identifier des priorités dans une série de recommandation dont «la mise en Commission, vérité, justice et réparation », a-t-elle expliqué. Dans son exposé, Pr Mariatou Koné est revenu sur le contexte de la mise en place du PNCS ainsi que ses missions.
Auparavant, la délégation centrafricaine a échangé avec le garde des sceaux, ministre de la justice, des droits de l’homme et des libertés publiques, Mamadou Gnénéma Coulibaly.
« Je suis en Côte d’Ivoire dans le cadre de la mise en place de la Commission vérité, justice, réparation, réconciliation », a-t-elle dit, précisant que c’est un « processus que le forum de Bangui a décidé dans ses recommandations pour aboutir à la réconciliation de tous les centrafricains ».
« Nous venons à l’école de la Côte d’Ivoire qui a déjà mis en place une structure semblable . (…) », a poursuivi Lydie Florence N’douba. « Sur le plan sécuritaire tout commence à rentrer dans l’ordre et progressivement beaucoup d’avancées ont été remarquées et de petits pas sont entrain d’être faits », a-t-elle conclu.
La Côte d’Ivoire dont le modèle (Commission Dialogue Vérité et Réconciliation) séduit les autorités de Bangui estime à travers son Garde des Sceaux, qu’en « terme d’expérience, il s’agit d’un vécu ».
« Il n’y a pas de prototype de mécanisme de réconciliation nationale. Chaque réconciliation est en fonction des causes des conflits. L’expertise ivoirienne que la Côte d’Ivoire entend faire bénéficier à la Centrafrique se situe au niveau du timing, les moyens à déployer. La Côte d’Ivoire a suggéré des méthodes à la Centrafrique », a ajouté le ministre Coulibaly.
LS-MC/APA
« Nous sommes venus profiter de l’expérience que vous avez (…) nous sommes à votre école », a déclaré Mme N’douba au cours d’une rencontre avec la Directrice générale Programme national de cohésion sociale (PNCS), Pr Mariatou Koné. Selon elle, cette visite en terre ivoirienne se fait en prélude à la mise en place prochaine d’une Commission, vérité, justice et réparation en Centrafrique.
« Au mois de mai dernier, nous avons organisé un forum à Bangui » qui a permis d’identifier des priorités dans une série de recommandation dont «la mise en Commission, vérité, justice et réparation », a-t-elle expliqué. Dans son exposé, Pr Mariatou Koné est revenu sur le contexte de la mise en place du PNCS ainsi que ses missions.
Auparavant, la délégation centrafricaine a échangé avec le garde des sceaux, ministre de la justice, des droits de l’homme et des libertés publiques, Mamadou Gnénéma Coulibaly.
« Je suis en Côte d’Ivoire dans le cadre de la mise en place de la Commission vérité, justice, réparation, réconciliation », a-t-elle dit, précisant que c’est un « processus que le forum de Bangui a décidé dans ses recommandations pour aboutir à la réconciliation de tous les centrafricains ».
« Nous venons à l’école de la Côte d’Ivoire qui a déjà mis en place une structure semblable . (…) », a poursuivi Lydie Florence N’douba. « Sur le plan sécuritaire tout commence à rentrer dans l’ordre et progressivement beaucoup d’avancées ont été remarquées et de petits pas sont entrain d’être faits », a-t-elle conclu.
La Côte d’Ivoire dont le modèle (Commission Dialogue Vérité et Réconciliation) séduit les autorités de Bangui estime à travers son Garde des Sceaux, qu’en « terme d’expérience, il s’agit d’un vécu ».
« Il n’y a pas de prototype de mécanisme de réconciliation nationale. Chaque réconciliation est en fonction des causes des conflits. L’expertise ivoirienne que la Côte d’Ivoire entend faire bénéficier à la Centrafrique se situe au niveau du timing, les moyens à déployer. La Côte d’Ivoire a suggéré des méthodes à la Centrafrique », a ajouté le ministre Coulibaly.
LS-MC/APA
