Bouaflé - Un séminaire sur le renforcement du dialogue sociosécuritaire se tient de lundi à mardi à Bouaflé (Centre-ouest, région de la Marahoué), à l’initiative de L’Agence de communication événementielle (AYACOM).
Ce séminaire destiné aux membres des Comités consultatifs d’éthique (CCE) de Bonon, Bouaflé, Yamousoukro, Tiébissou, Sinfra et Zuenoula s’inscrit dans le cadre du projet d’appui au renforcement du dialogue sociosécuritaire entre la population et la police nationale.
Deux thèmes meublent cet atelier notamment La gestion des conflits en période électorale et la contribution des membres des CCE à l’organisation d’élections apaisées.
Selon le capitaine Loué Ambroise, chargé d’études au cabinet du directeur général de la police nationale, cet atelier vise à permettre aux participants de diffuser les informations reçues dans leurs différentes localités afin d’inculquer aux populations des comportements allant dans le sens de la cohésion sociale et de la réconciliation.
"Il faut que ceux qui seront formés soient des artisans de paix et qu’ils puissent être capables d’anticiper en identifiant tous les faits et gestes, propos et actions générateurs de conflits et par des stratégies être à même de gérer ces conflits", a-t-il expliqué.
M. Loué, principal formateur du seminaire, a déclaré que le CCE, mis au sein des 116 commissariats que compte la Côte d’Ivoire est un cadre d’échanges et de dialogue entre police et population afin de partager les difficultés rencontrées dans la cité en vue de trouver ensemble des solutions.
"Il s’agit pour le directeur général de la police nationale de contribuer à la bonne gouvernance en faisant participer le citoyen à la prise de décision concernant les questions touchant à sa sécurité et de contrôler de façon démocratique les forces de police", a-t-il fait savoir.
Pour le chargé d’études, les séminaires initiés permettent également aux consultants d’être édifiés sur les missions de la police, les moyens légaux d’action, les limites, les sanctions disciplinaires et judiciaires qu’encourent les policiers ne respectant pas le code d’éthique et de déontologie.
"L’objectif que nous visons est de restaurer la confiance entre population et police, redorer le blason ternie de la police pour que, dans le cadre d’un partenariat police population, dans une relation de confiance, les populations puissent collaborer avec la police nationale par les échanges d’informations et de renseignements afin de mieux lutter contre la criminalité", a-t-il souligné.
Le projet d’appui au renforcement du dialogue sociosécuritaire, financé par l’Union européenne (UE) s’effectue en collaboration avec des organismes internationaux notamment, le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), et l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI).
zaar/ask
Ce séminaire destiné aux membres des Comités consultatifs d’éthique (CCE) de Bonon, Bouaflé, Yamousoukro, Tiébissou, Sinfra et Zuenoula s’inscrit dans le cadre du projet d’appui au renforcement du dialogue sociosécuritaire entre la population et la police nationale.
Deux thèmes meublent cet atelier notamment La gestion des conflits en période électorale et la contribution des membres des CCE à l’organisation d’élections apaisées.
Selon le capitaine Loué Ambroise, chargé d’études au cabinet du directeur général de la police nationale, cet atelier vise à permettre aux participants de diffuser les informations reçues dans leurs différentes localités afin d’inculquer aux populations des comportements allant dans le sens de la cohésion sociale et de la réconciliation.
"Il faut que ceux qui seront formés soient des artisans de paix et qu’ils puissent être capables d’anticiper en identifiant tous les faits et gestes, propos et actions générateurs de conflits et par des stratégies être à même de gérer ces conflits", a-t-il expliqué.
M. Loué, principal formateur du seminaire, a déclaré que le CCE, mis au sein des 116 commissariats que compte la Côte d’Ivoire est un cadre d’échanges et de dialogue entre police et population afin de partager les difficultés rencontrées dans la cité en vue de trouver ensemble des solutions.
"Il s’agit pour le directeur général de la police nationale de contribuer à la bonne gouvernance en faisant participer le citoyen à la prise de décision concernant les questions touchant à sa sécurité et de contrôler de façon démocratique les forces de police", a-t-il fait savoir.
Pour le chargé d’études, les séminaires initiés permettent également aux consultants d’être édifiés sur les missions de la police, les moyens légaux d’action, les limites, les sanctions disciplinaires et judiciaires qu’encourent les policiers ne respectant pas le code d’éthique et de déontologie.
"L’objectif que nous visons est de restaurer la confiance entre population et police, redorer le blason ternie de la police pour que, dans le cadre d’un partenariat police population, dans une relation de confiance, les populations puissent collaborer avec la police nationale par les échanges d’informations et de renseignements afin de mieux lutter contre la criminalité", a-t-il souligné.
Le projet d’appui au renforcement du dialogue sociosécuritaire, financé par l’Union européenne (UE) s’effectue en collaboration avec des organismes internationaux notamment, le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), et l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI).
zaar/ask