Le président ivoirien Alassane Ouattara a offert vendredi la somme de 100 millions FCFA à la Chambre des rois et chefs traditionnels pour démarrer ses activités, à l’inauguration de son siège social à Yamoussoukro (capitale politique).
La somme de 100 millions offerte par le chef de l’Etat à cette institution qu’est la Chambre des rois et chefs traditionnels, est censée lui permettre de démarrer ses activités qui sont, notamment, de régler les différends entre communautés d’expliquer les choix et orientations du gouvernement, d’œuvrer à la cohésion nationale.
Trente-cinq autorités traditionnelles (rois, reine, chefs de canton, chefs de village…) constituent le directoire de la Chambre.
La Chefferie traditionnelle en Côte d’Ivoire, jusque-là régie par un arrêté de 1934 (période coloniale), jouit depuis une loi votée en octobre 2014 d’un statut juridique.
Le président Ouattara trouvait "incohérent" que les rois et chefs traditionnels "en dépit du rôle important qu’ils jouent dans la société ivoirienne, n’aient (jusque-là) pas de reconnaissance légale".
Selon lui, "du fait de leur autorité morale", les rois et chefs traditionnels doivent être "des acteurs de premier plan" de la cohésion sociale et de la paix.
RKO
La somme de 100 millions offerte par le chef de l’Etat à cette institution qu’est la Chambre des rois et chefs traditionnels, est censée lui permettre de démarrer ses activités qui sont, notamment, de régler les différends entre communautés d’expliquer les choix et orientations du gouvernement, d’œuvrer à la cohésion nationale.
Trente-cinq autorités traditionnelles (rois, reine, chefs de canton, chefs de village…) constituent le directoire de la Chambre.
La Chefferie traditionnelle en Côte d’Ivoire, jusque-là régie par un arrêté de 1934 (période coloniale), jouit depuis une loi votée en octobre 2014 d’un statut juridique.
Le président Ouattara trouvait "incohérent" que les rois et chefs traditionnels "en dépit du rôle important qu’ils jouent dans la société ivoirienne, n’aient (jusque-là) pas de reconnaissance légale".
Selon lui, "du fait de leur autorité morale", les rois et chefs traditionnels doivent être "des acteurs de premier plan" de la cohésion sociale et de la paix.
RKO