Dabou – Des habitants de Layo, bourgade située à environ quatre kilomètres au sud de Dabou, soupçonnent le chef de village dans les cas d’agression d’hommes et de vandalisme perpétrés dans la nuit de dimanche à lundi par une vingtaine d’individus, a noté l’AIP sur place.
Selon la présidente des vendeuses de poisson, Mme Gnamké Alloi Viviane, soutenu par le responsable des jeunes, Ahua Georges, le chef du village, ses enfants et des personnes venues d’Armébé et de Gbodou auraient été aperçus, aux environs d’une heure du matin, dimanche, par des habitants en train de casser le marché.
Quant aux raisons qui sous-tendent cet acte, ces interlocuteurs affirment en chœur ne plus être en odeur de sainteté avec le chef, Yedoh Lath Théophile, parce qu’ils refusent de l’aider dans la bataille engagée contre le village d’Agnéby qui lui dispute la propriété de plus de 1500 ha de terre , allant de M’Braté, à la lisière de la commune de Songon, au pont situé à l’entrée de Dabou.
Autrefois campement, Layo a été reconnu comme un village à part entière par le décret No 2010-233 du 25 août 2010 fixant le ressort territorial des régions, départements, sous-préfectures et communes de Côte d’Ivoire, relève-t-on.
Appâtâmes saccagés, tables cassées, barriques servant à fumer le poisson renversées, tel est le bilan des dégâts constatés sur place lundi par l’AIP.
"Nous ne nous reconnaissons pas dans ces accusations non fondées. Nous ne savons pas qui a fait cela. Concernant les jeunes dont ils parlent, c’est pour la pêche qu’ils sont là. Quand ils vont pêcher et qu’ils sont fatigués, ils se reposent ici", se défend l’adjoint au chef de village, Akpa Marcellin, en l’absence du chef Yedoh Lath, par ailleurs injoignable au téléphone.
Peuplé d’un peu plus de 350 âmes, le village de Layo ne compte qu’une seule famille d’autochtones, les autres communautés venant de l’Est et du Sud-est de la Côte d’Ivoire ainsi que des pays de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), notamment du Mali, du Ghana et du Togo, précise-t-on.
Kkp/kp
Selon la présidente des vendeuses de poisson, Mme Gnamké Alloi Viviane, soutenu par le responsable des jeunes, Ahua Georges, le chef du village, ses enfants et des personnes venues d’Armébé et de Gbodou auraient été aperçus, aux environs d’une heure du matin, dimanche, par des habitants en train de casser le marché.
Quant aux raisons qui sous-tendent cet acte, ces interlocuteurs affirment en chœur ne plus être en odeur de sainteté avec le chef, Yedoh Lath Théophile, parce qu’ils refusent de l’aider dans la bataille engagée contre le village d’Agnéby qui lui dispute la propriété de plus de 1500 ha de terre , allant de M’Braté, à la lisière de la commune de Songon, au pont situé à l’entrée de Dabou.
Autrefois campement, Layo a été reconnu comme un village à part entière par le décret No 2010-233 du 25 août 2010 fixant le ressort territorial des régions, départements, sous-préfectures et communes de Côte d’Ivoire, relève-t-on.
Appâtâmes saccagés, tables cassées, barriques servant à fumer le poisson renversées, tel est le bilan des dégâts constatés sur place lundi par l’AIP.
"Nous ne nous reconnaissons pas dans ces accusations non fondées. Nous ne savons pas qui a fait cela. Concernant les jeunes dont ils parlent, c’est pour la pêche qu’ils sont là. Quand ils vont pêcher et qu’ils sont fatigués, ils se reposent ici", se défend l’adjoint au chef de village, Akpa Marcellin, en l’absence du chef Yedoh Lath, par ailleurs injoignable au téléphone.
Peuplé d’un peu plus de 350 âmes, le village de Layo ne compte qu’une seule famille d’autochtones, les autres communautés venant de l’Est et du Sud-est de la Côte d’Ivoire ainsi que des pays de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), notamment du Mali, du Ghana et du Togo, précise-t-on.
Kkp/kp
