Abidjan (Côte d’Ivoire) - Les acteurs du coton et de l’anacarde ainsi que des opérateurs économiques exerçant dans ces filières seront récompensés, jeudi, à Korhogo dans l’extrême-nord ivoirien au cours d’une cérémonie que présidera le ministre ivoirien de l’agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly, en présence de plus de 10.000 producteurs.
Selon le Conseil du Coton et de l’Anacarde, dirigé par Malamine Sanogo, cette journée nationale de récompense vise à "encourager" les producteurs et acheteurs qui font l’effort de suivre les "bonnes pratiques", mais également à "motiver" les autres à s’engager dans la voie de la recherche de la qualité.
Ainsi, au niveau de la filière anacarde, le meilleur producteur, le meilleur acheteur individuel, la meilleure société coopérative, la meilleure société commerciale, la meilleure femme acheteur et la meilleure société coopérative exportatrice seront récompensés.
S’agissant de la filière coton, les trois meilleurs producteurs seront récompensés par société cotonnière.
Il s’agit d’Ivoire Coton, de la Compagnie ivoirienne de coton (COIC), de la Société industrielle cotonnière des savanes (SICOSA), de la Société d’exploitation cotonnière de Ouangolo (SECO) et de la Compagnie ivoirienne pour le développement des textiles (CIDT).
"Ces producteurs seront désignés par ces différentes sociétés cotonnières en tenant en compte de la quantité de coton produite, du rendement à l’hectare et de la qualité", précisent les termes de références de la cérémonie.
Les filières coton et anacarde sont les principaux moteurs du développement socio-économique des régions Nord, Centre et Est de la Côte d’Ivoire. Cependant, à des degrés différents, des dysfonctionnements sont apparus au cours de la dernière décennie.
Afin de corriger ces faiblesses et de consolider les acquis de ces deux filières, le Chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara a décidé d’engager la réforme institutionnelle et opérationnelle de ces deux filières, conformément à son programme de campagne en 2010, en mettant en place le Conseil du Coton et de l’Anacarde.
Pour la campagne 2014-2015 de l’anacarde qui a démarré en février 2015, la Côte d’Ivoire attend une production de 600 000 tonnes de noix brutes de cajou, dont 540 000 tonnes sont destinées à l’exportation et 60 000 tonnes à la transformation locale. Avec une telle quantité, le pays deviendra le premier producteur mondial.
La production cotonnière de la Côte d’Ivoire atteindra 450 000 tonnes pour la campagne 2014-2015, selon les prévisions.
A l’horizon 2018-2020, la Côte d’Ivoire ambitionne d’arriver à une production cotonnière de 600 000 tonnes, pour passer du rang de 3è producteur de coton graine en Afrique à celui de premier producteur.
LS/APA
Selon le Conseil du Coton et de l’Anacarde, dirigé par Malamine Sanogo, cette journée nationale de récompense vise à "encourager" les producteurs et acheteurs qui font l’effort de suivre les "bonnes pratiques", mais également à "motiver" les autres à s’engager dans la voie de la recherche de la qualité.
Ainsi, au niveau de la filière anacarde, le meilleur producteur, le meilleur acheteur individuel, la meilleure société coopérative, la meilleure société commerciale, la meilleure femme acheteur et la meilleure société coopérative exportatrice seront récompensés.
S’agissant de la filière coton, les trois meilleurs producteurs seront récompensés par société cotonnière.
Il s’agit d’Ivoire Coton, de la Compagnie ivoirienne de coton (COIC), de la Société industrielle cotonnière des savanes (SICOSA), de la Société d’exploitation cotonnière de Ouangolo (SECO) et de la Compagnie ivoirienne pour le développement des textiles (CIDT).
"Ces producteurs seront désignés par ces différentes sociétés cotonnières en tenant en compte de la quantité de coton produite, du rendement à l’hectare et de la qualité", précisent les termes de références de la cérémonie.
Les filières coton et anacarde sont les principaux moteurs du développement socio-économique des régions Nord, Centre et Est de la Côte d’Ivoire. Cependant, à des degrés différents, des dysfonctionnements sont apparus au cours de la dernière décennie.
Afin de corriger ces faiblesses et de consolider les acquis de ces deux filières, le Chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara a décidé d’engager la réforme institutionnelle et opérationnelle de ces deux filières, conformément à son programme de campagne en 2010, en mettant en place le Conseil du Coton et de l’Anacarde.
Pour la campagne 2014-2015 de l’anacarde qui a démarré en février 2015, la Côte d’Ivoire attend une production de 600 000 tonnes de noix brutes de cajou, dont 540 000 tonnes sont destinées à l’exportation et 60 000 tonnes à la transformation locale. Avec une telle quantité, le pays deviendra le premier producteur mondial.
La production cotonnière de la Côte d’Ivoire atteindra 450 000 tonnes pour la campagne 2014-2015, selon les prévisions.
A l’horizon 2018-2020, la Côte d’Ivoire ambitionne d’arriver à une production cotonnière de 600 000 tonnes, pour passer du rang de 3è producteur de coton graine en Afrique à celui de premier producteur.
LS/APA