Yamoussoukro – Après le lancement officiel de sa campagne électorale à la présidentielle du 25 octobre, samedi à Dabou, le candidat Charles Konan Banny a tenu un meeting mardi à Yamoussoukro au cours duquel il s’est engagé, en tant que "candidat de l’union dans la diversité", à "renouveler le pacte de confiance entre les Ivoiriens" et leurs dirigeants après les crises successives qu’a connues le pays depuis 1990.
"De cette terre, à partir de ce terroir, je veux renouveler le pacte de confiance qui a permis de construire la Côte d’Ivoire moderne pendant trois décennies. Je suis candidat parce que la Côte d’Ivoire est en danger. Les Ivoiriens ont trop souffert", a-t-il déclaré lors du meeting qui se tenait au quartier Morofé. "Remettez-moi le pouvoir pour que la Côte d’Ivoire soit réconciliée dans sa diversité", a-t-il ajouté.
M. Banny a indiqué qu’il le fera "dans le pardon et le dialogue conformément à la philosophie du Félix Houphouët-Boigny". "Je m’engage à faire du transfert de la capitale à Yamoussoukro une réalité dès mon élection", a-t-il promis, s’engageant également à prendre des "mesures sp&eac ute;ciales" pour réduire la discrimination entre hommes et femmes, construire des infrastructures sanitaires, scolaires, routières (…) pour réduire la pauvreté des populations.
Charles Konan Banny a lancé sa campagne sous la bannière de la Coalition nationale pour le changement (CNC). Ancien gouverneur de la Banque centrale de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), M. Banny a été premier ministre, en remplacement de Seydou Elimane Diarra qui dirigeait le gouvernement issu de l’accord de Linas Marcoussis et a dirigé la Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation (CDVR).
(AIP)
nam/aaa/tm
"De cette terre, à partir de ce terroir, je veux renouveler le pacte de confiance qui a permis de construire la Côte d’Ivoire moderne pendant trois décennies. Je suis candidat parce que la Côte d’Ivoire est en danger. Les Ivoiriens ont trop souffert", a-t-il déclaré lors du meeting qui se tenait au quartier Morofé. "Remettez-moi le pouvoir pour que la Côte d’Ivoire soit réconciliée dans sa diversité", a-t-il ajouté.
M. Banny a indiqué qu’il le fera "dans le pardon et le dialogue conformément à la philosophie du Félix Houphouët-Boigny". "Je m’engage à faire du transfert de la capitale à Yamoussoukro une réalité dès mon élection", a-t-il promis, s’engageant également à prendre des "mesures sp&eac ute;ciales" pour réduire la discrimination entre hommes et femmes, construire des infrastructures sanitaires, scolaires, routières (…) pour réduire la pauvreté des populations.
Charles Konan Banny a lancé sa campagne sous la bannière de la Coalition nationale pour le changement (CNC). Ancien gouverneur de la Banque centrale de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), M. Banny a été premier ministre, en remplacement de Seydou Elimane Diarra qui dirigeait le gouvernement issu de l’accord de Linas Marcoussis et a dirigé la Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation (CDVR).
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