Pure coïncidence ou véritable coup du sort? En tout cas, pour avoir assisté à cette scène pour le moins décoiffant, des témoins se demandent encore jusqu’à ce jour ce qui a pu bien arriver ce jour-là au pauvre Gblélé Antoine. Imprimeur de son état, Gblélé est un Togolais de cinquante ans.
Ce jour-là, un mercredi du mois d’août, arrivé en face d'Ivoire sépultures (Ivosep, pompes funèbres), dans la commune abidjanaise de Treichville, Gblélé Antoine a été subitement pris de malaise. Ne pouvant même plus avancer, il s'est écroulé et s’est retrouvé à même le sol. Pris de panique, ses amis qui marchaient avec lui ne savaient plus à quel saint se vouer.
Aux dires des témoins sur place, ces derniers étaient tétanisés, partagés entre l’idée d’arrêter un taxi pour transporter leur ami ou s’improviser secouristes sur place. Finalement, ils ont opté pour le taxi. Mais en attendent d’en trouver un qui veuille bien les aider, ils se sont mis à plusieurs pour le soulever en direction de Chu de Treichville, à quelques centaines de mètres de là.
Mais le pauvre imprimeur était désormais incapable de prononcer un seul mot. Ses compagnons n’arrêtaient pas de supplier les taxis mais aucun ne voulait s’arrêter. Finalement, après 10 minutes de tentative de respiration de bouche à bouche, un généreux chauffeur d’un véhicule personnel accepte de les prendre. Hélas, il était déjà trop tard. Gbléle Antoine avait rendu l’âme. Définitivement cloué au sol, foudroyé par le bâtiment d’Ivosep ( ?!).
Ce jour-là, bizarrement, les badauds, qui avaient accouru sur les lieux se sont tenus loin de la scène, pour assister à ce douloureux spectacle. Peut-être à cause du lieu où les faits se sont produits? Mais bon…
La police, informée, s’est déportée sur place pour les constats d'usage.
Ironie du sort, Gblélé Antoine, de nationalité togolaise, avait entendu parler d’Ivosep depuis son pays et tenait à tout prix à voir un jour l’édifice. Alors, installé en Côte d’Ivoire depuis peu, il avait demandé à des amis de l’accompagner pour qu’il puisse enfin voir comment était cet endroit dont il entendait parler tant. Finalement, Gblélé est tombé à jamais sous le charme d’Ivosep.
Ange TIEMOKO
Ce jour-là, un mercredi du mois d’août, arrivé en face d'Ivoire sépultures (Ivosep, pompes funèbres), dans la commune abidjanaise de Treichville, Gblélé Antoine a été subitement pris de malaise. Ne pouvant même plus avancer, il s'est écroulé et s’est retrouvé à même le sol. Pris de panique, ses amis qui marchaient avec lui ne savaient plus à quel saint se vouer.
Aux dires des témoins sur place, ces derniers étaient tétanisés, partagés entre l’idée d’arrêter un taxi pour transporter leur ami ou s’improviser secouristes sur place. Finalement, ils ont opté pour le taxi. Mais en attendent d’en trouver un qui veuille bien les aider, ils se sont mis à plusieurs pour le soulever en direction de Chu de Treichville, à quelques centaines de mètres de là.
Mais le pauvre imprimeur était désormais incapable de prononcer un seul mot. Ses compagnons n’arrêtaient pas de supplier les taxis mais aucun ne voulait s’arrêter. Finalement, après 10 minutes de tentative de respiration de bouche à bouche, un généreux chauffeur d’un véhicule personnel accepte de les prendre. Hélas, il était déjà trop tard. Gbléle Antoine avait rendu l’âme. Définitivement cloué au sol, foudroyé par le bâtiment d’Ivosep ( ?!).
Ce jour-là, bizarrement, les badauds, qui avaient accouru sur les lieux se sont tenus loin de la scène, pour assister à ce douloureux spectacle. Peut-être à cause du lieu où les faits se sont produits? Mais bon…
La police, informée, s’est déportée sur place pour les constats d'usage.
Ironie du sort, Gblélé Antoine, de nationalité togolaise, avait entendu parler d’Ivosep depuis son pays et tenait à tout prix à voir un jour l’édifice. Alors, installé en Côte d’Ivoire depuis peu, il avait demandé à des amis de l’accompagner pour qu’il puisse enfin voir comment était cet endroit dont il entendait parler tant. Finalement, Gblélé est tombé à jamais sous le charme d’Ivosep.
Ange TIEMOKO
