ABIDJAN -- La Côte d'Ivoire a engagé une lutte "sans merci" contre la circulation illicite et la prolifération des armes, selon le directeur de cabinet adjoint du ministre du Plan et du Développement de Côte d'Ivoire Vamoussa Coulibaly qui a noté que les crises successives en Côte d'Ivoire ont favorisé la prolifération des armes.
Lors d'une rencontre jeudi à Divo (centre-ouest) réunissant autorités sécuritaires et société civile à l'initiative de la Commission nationale de lutte contre la prolifération et la circulation illicite des armes légères et de petit calibre (ComNat-Alpc), M. Coulibaly a indiqué que le contrôle et la lutte contre les armes légères constituent un enjeu crucial en cette période pré-électorale.
"Tous les acteurs doivent s'impliquer de manière totale dans cette lutte pour garantir la cohésion sociale", a plaidé l'officiel ivoirien.
Pour le représentant du Programme des Nations-unies pour le développement (PNUD) Mohamed el Mehdi Ag-Rhissa, l'implication effective des acteurs contribuera à renforcer le dépôt volontaire des armes et munitions.
La Côte d'Ivoire sort de manière progressive d'un conflit meurtrier alimenté par une "disponibilité massive et incontrôlée" des armes légères et de petit calibre.
Selon des experts, plus de 100 000 armes sont en circulation illicite en Côte d'Ivoire depuis la rébellion armée de 2002 ponctuée par la crise post-électorale de 2010-2011 qui a fait au moins 3 000 morts dans le pays.
A plusieurs occasions, les autorités ivoiriennes ont relevé que la lutte contre la prolifération des armes en Côte d' Ivoire aboutira à un pays paisible et sécurisé en 2020.
Lors d'une rencontre jeudi à Divo (centre-ouest) réunissant autorités sécuritaires et société civile à l'initiative de la Commission nationale de lutte contre la prolifération et la circulation illicite des armes légères et de petit calibre (ComNat-Alpc), M. Coulibaly a indiqué que le contrôle et la lutte contre les armes légères constituent un enjeu crucial en cette période pré-électorale.
"Tous les acteurs doivent s'impliquer de manière totale dans cette lutte pour garantir la cohésion sociale", a plaidé l'officiel ivoirien.
Pour le représentant du Programme des Nations-unies pour le développement (PNUD) Mohamed el Mehdi Ag-Rhissa, l'implication effective des acteurs contribuera à renforcer le dépôt volontaire des armes et munitions.
La Côte d'Ivoire sort de manière progressive d'un conflit meurtrier alimenté par une "disponibilité massive et incontrôlée" des armes légères et de petit calibre.
Selon des experts, plus de 100 000 armes sont en circulation illicite en Côte d'Ivoire depuis la rébellion armée de 2002 ponctuée par la crise post-électorale de 2010-2011 qui a fait au moins 3 000 morts dans le pays.
A plusieurs occasions, les autorités ivoiriennes ont relevé que la lutte contre la prolifération des armes en Côte d' Ivoire aboutira à un pays paisible et sécurisé en 2020.
