Dabou - Les sapeurs-pompiers civils en service à Dabou (Sud, région des Grands ponts) travaillent dans de pénibles conditions, a constaté l’AIP, vendredi, lors de la survenue d’un incendie au quartier Gédéon.
Munis de petits seaux et de bassines, pour les plus chanceux, ils s’affairaient à éteindre les braises des flammes qui venaient de dévaster trois habitations en bande de trois pièces chacune.
‘’Nous sommes venus une première fois pour faire l’état des lieux, puisque nous n’avons pas d’équipements et qu’il n’y avait pas d’eau dans les environs’’, a confié l’un des éléments de la section 3 qui était de service aujourd’hui, sous les ordres de Méité Vafoungbé.
Précisons que 45 sapeurs-pompiers civils ont été affectés à Dabou depuis le mois d’avril. Cependant, ceux-ci, ne dis posant nullement de locaux, encore moins de matériels, se ‘’rencontrent’’ au Conseil régional des Grands ponts.
‘’Nous sommes bien formés Il suffit que nous ayons le matériel pour que ce genre de dommage soit vite circonscrit’’, a assuré l’agent de la protection civile, après qu’une unité agro-industrielle ait bien voulu prêter sa citerne environ quatre heures que l’incendie se soit déclenchée.
Les locataires des maisons dont dame Sanwi Edith, en service au Conseil régional, et le sieur Gnamba Mathieu, professeur en poste au service social du lycée Leboutou de Dabou, qui étaient au travail au moment du sinistre évènement n’ont quasiment rien pu sauver, note-t-on.
(AIP)
kkp/tm
Munis de petits seaux et de bassines, pour les plus chanceux, ils s’affairaient à éteindre les braises des flammes qui venaient de dévaster trois habitations en bande de trois pièces chacune.
‘’Nous sommes venus une première fois pour faire l’état des lieux, puisque nous n’avons pas d’équipements et qu’il n’y avait pas d’eau dans les environs’’, a confié l’un des éléments de la section 3 qui était de service aujourd’hui, sous les ordres de Méité Vafoungbé.
Précisons que 45 sapeurs-pompiers civils ont été affectés à Dabou depuis le mois d’avril. Cependant, ceux-ci, ne dis posant nullement de locaux, encore moins de matériels, se ‘’rencontrent’’ au Conseil régional des Grands ponts.
‘’Nous sommes bien formés Il suffit que nous ayons le matériel pour que ce genre de dommage soit vite circonscrit’’, a assuré l’agent de la protection civile, après qu’une unité agro-industrielle ait bien voulu prêter sa citerne environ quatre heures que l’incendie se soit déclenchée.
Les locataires des maisons dont dame Sanwi Edith, en service au Conseil régional, et le sieur Gnamba Mathieu, professeur en poste au service social du lycée Leboutou de Dabou, qui étaient au travail au moment du sinistre évènement n’ont quasiment rien pu sauver, note-t-on.
(AIP)
kkp/tm
