L’Intelligent d’Abidjan dans sa parution du jeudi 22 octobre 2015, a accusé le président de l’Union des nouvelles générations (Ung) d’activités subversives. Le journal se base sur le récent rassemblement des pro-Gbagbo qui a eu lieu dans la capitale ghanéenne, Accra. A cette occasion, Stéphane Kipré et Damana Pickass ont appelé les Ivoiriens à boycotter le scrutin à venir et réclamé une transition dirigée par une personnalité neutre. Cela a suffi au quotidien dirigé par Alafé Wakili pour y voir un acte de déstabilisation. Stéphane Kipré qui réagit à cet article, dévoile le contenu de l’article en ces termes : «Selon ce journal, ceux qu’ils qualifient de «radicaux et d’agitateurs d’idées des ‘Gbagbo ou rien’ se seraient retrouvés à Accra dans la capitale ghanéenne en vue de planifier un coup d’Etat qui partirait du Burkina Faso où nous aurions établi des connexions. C’est donc dans cette optique que j’aurais contacté un pasteur à Abidjan afin de lui demander de prier pour la réussite de notre projet. C’est ce dernier qui, en colère, m’aurait dénoncé auprès du journal.»
Pour Stéphane Kipré, ce sont là des allégations mensongères visant à jeter le discrédit sur sa personne. Tirant les conséquences, le président en exil de l’Ung a décidé de contre-attaquer. «J’ai décidé de saisir mes avocats afin qu’une action en justice soit intentée contre eux pour diffamation. J’entends par ailleurs saisir le Conseil National de la Presse (CNP) pour que toute la lumière soit faite sur cette histoire qui cache certainement un dessein politique inavoué. L’action en justice sera donc l’occasion pour ce journal de fournir toutes les preuves qu’il a en sa possession», fait-il savoir avant de rassurer tous les participants à cette réunion d’Accra qu’il ne se laissera pas intimider.
SD
Pour Stéphane Kipré, ce sont là des allégations mensongères visant à jeter le discrédit sur sa personne. Tirant les conséquences, le président en exil de l’Ung a décidé de contre-attaquer. «J’ai décidé de saisir mes avocats afin qu’une action en justice soit intentée contre eux pour diffamation. J’entends par ailleurs saisir le Conseil National de la Presse (CNP) pour que toute la lumière soit faite sur cette histoire qui cache certainement un dessein politique inavoué. L’action en justice sera donc l’occasion pour ce journal de fournir toutes les preuves qu’il a en sa possession», fait-il savoir avant de rassurer tous les participants à cette réunion d’Accra qu’il ne se laissera pas intimider.
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