Daoukro - Le domicile d’un enseignant de Daoukro, au quartier Chicago de la ville, a été cambriolé dans la nuit de mercredi à jeudi, aux environs de 3 heures du matin, par des individus armés qui ont emporté une importante somme d’argent et le téléphone portable de son épouse, a appris l’AIP.
Le chef de famille étant absent pour des raisons de service, c’est son épouse Brigitte Kouassi et les enfants qui ont subi le courroux des malfrats. Selon les explications de Dame Kouassi, les trois individus sont entrés par effraction dans la maison et ont eu accès à la chambre principale après avoir fracassé le poignet de la serrure.
Après l’avoir tenue en respect, ils lui ont intimé l’ordre de leur donner son téléphone portable, l’ordinateur et toute la somme relative au retrait effectué la veille dans une des structures bancaires de la ville. Arrivés sur les lieux, des éléments de la police ont ouvert le feu sur les bandits qui ont pris la fuite en escaladant la clôture.
Mais, l’un d’eux, atteint par balle, avait trouvé refuge dans une cour voisine avec son arme avant de prendre la po udre d’escampette au petit matin, a confié à l’AIP, un jeune élève de cette concession qui dit avoir été menacé d’être fusillé s’il le dénonçait après l’avoir découvert.
La police a ouvert une enquête pour tenter de retrouver ces personnes et tous les autres qui perturbent depuis un moment la quiétude des populations de Daoukro, précise-t-on.
ca/fmo/ask
Le chef de famille étant absent pour des raisons de service, c’est son épouse Brigitte Kouassi et les enfants qui ont subi le courroux des malfrats. Selon les explications de Dame Kouassi, les trois individus sont entrés par effraction dans la maison et ont eu accès à la chambre principale après avoir fracassé le poignet de la serrure.
Après l’avoir tenue en respect, ils lui ont intimé l’ordre de leur donner son téléphone portable, l’ordinateur et toute la somme relative au retrait effectué la veille dans une des structures bancaires de la ville. Arrivés sur les lieux, des éléments de la police ont ouvert le feu sur les bandits qui ont pris la fuite en escaladant la clôture.
Mais, l’un d’eux, atteint par balle, avait trouvé refuge dans une cour voisine avec son arme avant de prendre la po udre d’escampette au petit matin, a confié à l’AIP, un jeune élève de cette concession qui dit avoir été menacé d’être fusillé s’il le dénonçait après l’avoir découvert.
La police a ouvert une enquête pour tenter de retrouver ces personnes et tous les autres qui perturbent depuis un moment la quiétude des populations de Daoukro, précise-t-on.
ca/fmo/ask