Daloa - La réélection du Président de la République Alassane Ouattara, à l’issue du scrutin du 25 octobre 2015, est dans l’ensemble bien appréciée à Daloa, "la Cité des Antilopes", en ce qu’elle constitue un "gage de stabilité et de paix" pour le pays, selon des personnes dont des chefs de communauté interrogées jeudi par l’AIP.
Se prononçant sur le déroulement du scrutin, le chef de Lobia, Séry Drepeba et le chef de l’Union des allochtones du Haut-Sassandra, Dr Touré Lanciné se sont félicité de l’atmosphère apais ée qui a entouré cette élection. Toute chose qui, selon eux, démontre la maturité politique des Ivoiriens.
Par contre, ils souhaitent que pour son deuxième mandat, le chef de l’Etat continue non seulement sur sa lancée en ouvrant d’autres grands chantiers pour le développement, mais qu’il aille encore plus loin en ce qui concerne le processus de réconciliation nationale, en libérant les prisonniers politiques, au nom de la paix.
Mais la population et singulièrement des parents d’étudiants diplômés et sans emploi, demandent au chef de l’Etat de travailler davantage contre la corruption qui sévirait en matière de recrutement au niveau de certains concours de la fonction publique, en plus des efforts déjà faits pour résorber le chômage des jeunes avec la création récente d’un ministère entièrement dédié à la jeunesse.
yy/ask
Se prononçant sur le déroulement du scrutin, le chef de Lobia, Séry Drepeba et le chef de l’Union des allochtones du Haut-Sassandra, Dr Touré Lanciné se sont félicité de l’atmosphère apais ée qui a entouré cette élection. Toute chose qui, selon eux, démontre la maturité politique des Ivoiriens.
Par contre, ils souhaitent que pour son deuxième mandat, le chef de l’Etat continue non seulement sur sa lancée en ouvrant d’autres grands chantiers pour le développement, mais qu’il aille encore plus loin en ce qui concerne le processus de réconciliation nationale, en libérant les prisonniers politiques, au nom de la paix.
Mais la population et singulièrement des parents d’étudiants diplômés et sans emploi, demandent au chef de l’Etat de travailler davantage contre la corruption qui sévirait en matière de recrutement au niveau de certains concours de la fonction publique, en plus des efforts déjà faits pour résorber le chômage des jeunes avec la création récente d’un ministère entièrement dédié à la jeunesse.
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