Le prix du kilogramme de l'oignon violet de Galmi ou ''oignon Niamey'', une épice très prisée par les consommateurs ivoiriens pour sa ''saveur et son goût piquant'' est passé de 200 à 800 F CFA, depuis quelques semaines sur les étalages des revendeurs du Centre-Nord du pays.
''L'oignon Niamey comme son nom l'indique provient du Niger. En ce moment (30 octobre 2015), il y a une pénurie de cette denrée sur le marché'' explique dans un entretien accordé à APA, Yssouf Coulibaly, un détaillant d'oignon au grand marché de Bouaké. Selon lui, cette situation de rupture qui perdure depuis plusieurs semaines est due à un manque d'approvisionnement du marché ivoirien.
''C'est vrai que la période de commercialisation de l'oignon Niamey couvre généralement de janvier à juillet, mais il y a souvent jusqu'au mois d'octobre des produits contre saisonnier qui continuent d'alimenter le marché'' indique M. Coulibaly, visiblement embarrassé.
''Je ne sais pas pourquoi il y a eu cette brusque rupture cette année'' ,ajoute-t-il, avant de conclure ''en tout cas ceux qui en ont (oignon Niamey) encore en stock en ce moment se frottent les mains parce qu'ils revendent le kilo à 800 F CFA au lieu de 200 ou 250 F CFA le kilogramme comme d'ordinaire''.
Pour Barakissa Sylla, une ménagère de Bouaké ''l'oignon est devenu trop cher sur le marché. Moi je préfère particulièrement l'oignon Niamey à cause de son goût très relevé mais aussi à cause de son prix très abordable mais en ce moment nous qui avons des maris qui se +débrouillent+ là...on ne peut pas acheter ça''. Toujours selon dame Sylla ''même l'oignon importé de la Hollande et du Maroc qu'on nous vend en ce moment on trouve ça trop cher''.
Le kilogramme de l'oignon jaune de la Hollande et l'oignon rouge du Maroc est revendu à 500 F CFA chez les détaillants du marché de Bouaké.
CK/sy/ls/APA
''L'oignon Niamey comme son nom l'indique provient du Niger. En ce moment (30 octobre 2015), il y a une pénurie de cette denrée sur le marché'' explique dans un entretien accordé à APA, Yssouf Coulibaly, un détaillant d'oignon au grand marché de Bouaké. Selon lui, cette situation de rupture qui perdure depuis plusieurs semaines est due à un manque d'approvisionnement du marché ivoirien.
''C'est vrai que la période de commercialisation de l'oignon Niamey couvre généralement de janvier à juillet, mais il y a souvent jusqu'au mois d'octobre des produits contre saisonnier qui continuent d'alimenter le marché'' indique M. Coulibaly, visiblement embarrassé.
''Je ne sais pas pourquoi il y a eu cette brusque rupture cette année'' ,ajoute-t-il, avant de conclure ''en tout cas ceux qui en ont (oignon Niamey) encore en stock en ce moment se frottent les mains parce qu'ils revendent le kilo à 800 F CFA au lieu de 200 ou 250 F CFA le kilogramme comme d'ordinaire''.
Pour Barakissa Sylla, une ménagère de Bouaké ''l'oignon est devenu trop cher sur le marché. Moi je préfère particulièrement l'oignon Niamey à cause de son goût très relevé mais aussi à cause de son prix très abordable mais en ce moment nous qui avons des maris qui se +débrouillent+ là...on ne peut pas acheter ça''. Toujours selon dame Sylla ''même l'oignon importé de la Hollande et du Maroc qu'on nous vend en ce moment on trouve ça trop cher''.
Le kilogramme de l'oignon jaune de la Hollande et l'oignon rouge du Maroc est revendu à 500 F CFA chez les détaillants du marché de Bouaké.
CK/sy/ls/APA