Le président de la république ivoirien Alassane Ouattara va recevoir la Commission nationale pour la réconciliation et l’indemnisation des victimes (CONARIV), "le directoire des chefs traditionnels et les chefs religieux" dans "le courant du mois de décembre" a annoncé le porte-parole du gouvernement Bruno Koné, à l’issue d’un Conseil des ministres.
"Dans le courant du mois de décembre, le chef de l’État recevra la CONARIV, le directoire des chefs traditionnels et les chefs religieux pour tout de suite embrayer sur l’action d’accélération du processus national de réconciliation, c’est une priorité (…) et le chef de l’État veut montrer qu’il a bien compris les Ivoiriens", a déclaré M. Koné.
Les trois rencontres, qui devraient se faire séparément, ont pour objectif de "mettre en œuvre tout ce qui est possible pour que les Ivoiriens vivent en parfaite harmonie" selon le ministre des TIC.
Le porte-parole du gouvernement a enfin refusé de se prononcer sur une éventuelle amnistie générale concernant les prisonniers dits "politiques." "En face (des prisonniers), il y a des victimes aussi. Il ne faut pas forcer une réconciliation qui peut demain déboucher sur d’autres frustrations", a-t-il précisé.
Dans son agenda, le chef de l’État devrait également se déplacer en Afrique du Sud du 3 au 5 décembre pour un sommet "Chinafrique".
Ce conseil des ministres était officiellement le premier du second quinquennat d’Alassane Ouattara, qui a été réélu président de la république dès le premier tour dimanche 25 octobre, avec 83,66% des voix.
NMI
"Dans le courant du mois de décembre, le chef de l’État recevra la CONARIV, le directoire des chefs traditionnels et les chefs religieux pour tout de suite embrayer sur l’action d’accélération du processus national de réconciliation, c’est une priorité (…) et le chef de l’État veut montrer qu’il a bien compris les Ivoiriens", a déclaré M. Koné.
Les trois rencontres, qui devraient se faire séparément, ont pour objectif de "mettre en œuvre tout ce qui est possible pour que les Ivoiriens vivent en parfaite harmonie" selon le ministre des TIC.
Le porte-parole du gouvernement a enfin refusé de se prononcer sur une éventuelle amnistie générale concernant les prisonniers dits "politiques." "En face (des prisonniers), il y a des victimes aussi. Il ne faut pas forcer une réconciliation qui peut demain déboucher sur d’autres frustrations", a-t-il précisé.
Dans son agenda, le chef de l’État devrait également se déplacer en Afrique du Sud du 3 au 5 décembre pour un sommet "Chinafrique".
Ce conseil des ministres était officiellement le premier du second quinquennat d’Alassane Ouattara, qui a été réélu président de la république dès le premier tour dimanche 25 octobre, avec 83,66% des voix.
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