L'approvisionnement du marché en volailles, à quelques semaines des fêtes de fin d'année, est un réel sujet de préoccupations pour des acteurs du secteur avicole.
En effet, une visite dans certaines fermes à Bingerville et à Songon, route de Dabou, permet de constater le désarroi de certains éleveurs qui, jusque-là, ont des difficultés pour s'approvisionner en poussins. Dans la plupart de ces exploitations avicoles, il n'y a pas de poussin de chair en engraissement. Toute chose qui fait peser un danger sur l'approvisionnement en volailles des différents marchés pendant les fêtes de Noël et du nouvel an. A Songon Bimbresso, plus précisément au quartier appelé ''l’Antenne'', le bâtiment de 3 000 poussins construit par Koné Siaka est désespérément vide. Une... suite de l'article sur L’Inter
En effet, une visite dans certaines fermes à Bingerville et à Songon, route de Dabou, permet de constater le désarroi de certains éleveurs qui, jusque-là, ont des difficultés pour s'approvisionner en poussins. Dans la plupart de ces exploitations avicoles, il n'y a pas de poussin de chair en engraissement. Toute chose qui fait peser un danger sur l'approvisionnement en volailles des différents marchés pendant les fêtes de Noël et du nouvel an. A Songon Bimbresso, plus précisément au quartier appelé ''l’Antenne'', le bâtiment de 3 000 poussins construit par Koné Siaka est désespérément vide. Une... suite de l'article sur L’Inter