On ne le dira jamais assez, l’incivisme de certains conducteurs de taxi moto ne souffre d’aucune contestation à Bouaké, si l’on observe les nombreux accidents enregistrés au quotidien dans cette ville. Après celui survenu la semaine dernière dans le quartier de Dar es Salam faisant deux morts, un autre accident des plus mortels vient encore de se produire, cette fois au quartier commerce non loin de la gare UTB.
Selon une source policière, les faits se sont produits le lundi 9 novembre 2015 à 1h30 du matin. En effet, Coulibaly Mamadou, la vingtaine révolue, conducteur de taxi-moto, quittait l’avenue Jacques Aka pour rallier la gare routière non loin des rails, à quelques mètres de la compagnie UTB. Mamadou, qui roulait à vive allure, était loin de s’imaginer que sa traversée des rails sera obstruée par une barrière qu’un garde de la Sitarail allait poser pour faciliter le passage d’un train qui s’était déjà signalé quelques minutes plus tôt.
Une fois la barrière baissée, Mamadou n’aura aucun recours, car la vitesse de son engin aura raison de lui. Ignorant le danger auquel il s’exposait, l’infortuné conducteur de taxi-moto va foncer dans la barrière qu’il percute. Il meurt sur le coup dans l’indifférence totale d’une population plongée dans les bras de Morphée à cette heure tardive. Alertés, les sapeurs-pompiers ont transféré la victime au service mortuaire du Chu de Bouaké. Quant à la police, elle s’est, pour sa part, rendue au petit matin sur le lieu du drame pour procéder au constat d’usage.
BAMELA
Selon une source policière, les faits se sont produits le lundi 9 novembre 2015 à 1h30 du matin. En effet, Coulibaly Mamadou, la vingtaine révolue, conducteur de taxi-moto, quittait l’avenue Jacques Aka pour rallier la gare routière non loin des rails, à quelques mètres de la compagnie UTB. Mamadou, qui roulait à vive allure, était loin de s’imaginer que sa traversée des rails sera obstruée par une barrière qu’un garde de la Sitarail allait poser pour faciliter le passage d’un train qui s’était déjà signalé quelques minutes plus tôt.
Une fois la barrière baissée, Mamadou n’aura aucun recours, car la vitesse de son engin aura raison de lui. Ignorant le danger auquel il s’exposait, l’infortuné conducteur de taxi-moto va foncer dans la barrière qu’il percute. Il meurt sur le coup dans l’indifférence totale d’une population plongée dans les bras de Morphée à cette heure tardive. Alertés, les sapeurs-pompiers ont transféré la victime au service mortuaire du Chu de Bouaké. Quant à la police, elle s’est, pour sa part, rendue au petit matin sur le lieu du drame pour procéder au constat d’usage.
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