Avant la 9ème édition du forum ICT4ALL (TIC pour Tous) d’Hammamet, le Ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication, Porte-parole du Gouvernement, Bruno Nabagné KONE a participé à une réunion ministérielle sur les MOCC (massive online open courses), avec ses homologues de la Tunisie, de l’Algérie, du Lesotho, du Soudan et de l’Union des Comores.
En juin dernier, à la faveur des Journées de Partenariat Numérique Tuniso – Ivoiriennes à Tunis, les ministres ivoirien et tunisien avaient signé plusieurs accords de coopération dont un sur l’organisation d’un Sommet Africain des MOOC en mars 2016. Cette réunion d’Hammamet a pour objectif de favoriser l’adhésion d’un grand nombre de pays à ce projet.
Les différents participants se sont accordés sur la nécessité pour l’Afrique de recourir aux MOOC pour une meilleure formation et pour l’employabilité des jeunes. Les MOOC sont des supports de diffusion de connaissances (cours) pour un plus grand nombre de personnes.
Ils représentent une opportunité pour les pays africains, notamment pour la Côte d’Ivoire, qui ne disposent pas forcément d’infrastructures de formation suffisantes.
Pour le Ministre Bruno KONE, l’Afrique ne devra ménager aucun effort pour être présent sur le marché des MOOC. Pour cela, les Etats ont pour obligation de créer les conditions de développement de cet outil.
Une déclaration d’adhésion devrait être signée par ces ministres dans les jours à venir.
En juin dernier, à la faveur des Journées de Partenariat Numérique Tuniso – Ivoiriennes à Tunis, les ministres ivoirien et tunisien avaient signé plusieurs accords de coopération dont un sur l’organisation d’un Sommet Africain des MOOC en mars 2016. Cette réunion d’Hammamet a pour objectif de favoriser l’adhésion d’un grand nombre de pays à ce projet.
Les différents participants se sont accordés sur la nécessité pour l’Afrique de recourir aux MOOC pour une meilleure formation et pour l’employabilité des jeunes. Les MOOC sont des supports de diffusion de connaissances (cours) pour un plus grand nombre de personnes.
Ils représentent une opportunité pour les pays africains, notamment pour la Côte d’Ivoire, qui ne disposent pas forcément d’infrastructures de formation suffisantes.
Pour le Ministre Bruno KONE, l’Afrique ne devra ménager aucun effort pour être présent sur le marché des MOOC. Pour cela, les Etats ont pour obligation de créer les conditions de développement de cet outil.
Une déclaration d’adhésion devrait être signée par ces ministres dans les jours à venir.