Ben Soumahoro est à nouveau en deuil. Après sa sœur aînée il y a quelques mois, il vient de perdre l'aîné de ses garçons, Olivier, âgé de 47 ans, qui a succombé à la suite d’un arrêt cardiaque, le mercredi 18 novembre 2015 à Abidjan.
L’ancien député de Bako, au Nord de la Côte d’Ivoire, a été victime lui-même, il y a quelques semaines, d'un léger AVC.
Ben Soumahoro, malgré son hostilité à l'égard d'Alassane Ouattara n'a jamais fait, apprend-on, l'objet d'une poursuite judiciaire de la part des autorités d’Abidjan. Aussi bien du fait de l'affection que lui porte malgré tout Alassane Ouattara, que des discrètes démarches prêtées au Président Bédié.
Son épouse s'était même rendue à Abidjan il y a quelques semaines. Au vu et au su des autorités policières, elle y avait passé plusieurs jours pour accomplir des formalités administratives sans être inquiétées, comme d'ailleurs les épouses, compagnes ou parents de plusieurs exilés. Plusieurs de ses enfants vivent, ou viennent à Abidjan sans aucune tracasserie.
Suite au pillage de sa résidence à Abidjan après les tirs et menaces qui l'avaient conduit lui et sa famille, à se réfugier dans une ambassade avant de se rendre en exil, dans la foulée de la crise postélectorale de 2010, celui qui fut porte-parole du Rdr avant de devenir un anti-Alassaniste notoire sans jamais adhérer, ni militer au Front populaire ivoirien, malgré son amitié pour l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, fondateur de ce parti, avait toujours clamé avoir échappé à un assassinat de la part des Forces républicaines de Côte d’Ivoire.
Depuis son lieu d'exil, il n'a eu de cesse de vilipender les actuelles autorités ivoiriennes, pour soutenir la cause de Laurent Gbagbo, et dénoncer la gouvernance négative, selon lui, pratiquée » par Alassane Ouattara.
Alice Ouédraogo
pour afrikipresse.fr
L’ancien député de Bako, au Nord de la Côte d’Ivoire, a été victime lui-même, il y a quelques semaines, d'un léger AVC.
Ben Soumahoro, malgré son hostilité à l'égard d'Alassane Ouattara n'a jamais fait, apprend-on, l'objet d'une poursuite judiciaire de la part des autorités d’Abidjan. Aussi bien du fait de l'affection que lui porte malgré tout Alassane Ouattara, que des discrètes démarches prêtées au Président Bédié.
Son épouse s'était même rendue à Abidjan il y a quelques semaines. Au vu et au su des autorités policières, elle y avait passé plusieurs jours pour accomplir des formalités administratives sans être inquiétées, comme d'ailleurs les épouses, compagnes ou parents de plusieurs exilés. Plusieurs de ses enfants vivent, ou viennent à Abidjan sans aucune tracasserie.
Suite au pillage de sa résidence à Abidjan après les tirs et menaces qui l'avaient conduit lui et sa famille, à se réfugier dans une ambassade avant de se rendre en exil, dans la foulée de la crise postélectorale de 2010, celui qui fut porte-parole du Rdr avant de devenir un anti-Alassaniste notoire sans jamais adhérer, ni militer au Front populaire ivoirien, malgré son amitié pour l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, fondateur de ce parti, avait toujours clamé avoir échappé à un assassinat de la part des Forces républicaines de Côte d’Ivoire.
Depuis son lieu d'exil, il n'a eu de cesse de vilipender les actuelles autorités ivoiriennes, pour soutenir la cause de Laurent Gbagbo, et dénoncer la gouvernance négative, selon lui, pratiquée » par Alassane Ouattara.
Alice Ouédraogo
pour afrikipresse.fr